ASK

Khettabi obligé d'emprunter de l'argentEnfin une bonne nouvelle pour les Khroubis, leur équipe vient d'éviter la défalcation des trois points. La direction, qui avait comme dernier ultimatum jusqu'au 15 janvier, a fini par déposer, au niveau de la Ligue, hier matin, un chèque de un milliard. Cela est revenu cher pour la SSPA/ASK qui, malgré le déboursement de cette somme importante, n'a pas encore payé la totalité de sa dette. Il manquait 700 millions pour en finir définitivement avec ces dettes de 2012. Ainsi, les erreurs de gestion ne s'effaceront pas rapidement, ce qui hanterait leur commanditaire. Nous espérons que les Khroubis ont appris bien la leçon.Un autocar pour l'équipeL'équipe de l'ASK a reçu, hier, son propre autocar. Cette affaire a été réglé par l'actionnaire Dib, mais l'arrivée de cet appareil n'a atterri qu'hier à la direction. Un beau cadeau de fin de semaine, car cet autocar rendra d'énormes services à l'équipe, qui sera plus libre pour ses déplacements. Ainsi, l'ASK se rendra aujourd'hui à Mostaganem dans ce bus. La direction pourrait faire des économies, car les locations de ces dernières années ont vidé la trésorerie de l'équipe khroubie.Départ vers Mostaganem aujourd'huiAprès une trêve riche en travail et préparation, les choses reprendront leur cours normal. Ce week-end, l'ASK a rendez-vous avec l'ESM, à 15h. Avant cela, un long déplacement attend les Khroubis et la délégation devra s'arrêter à Baraki pour déjeuner, et poursuivra son chemin en ralliant la ville de Relizane où l'ASK passera la nuit à l'hôtel El Mania. Le lendemain, l'effectif poursuivra la route vers Mostaganem.Khettabi obligé d'emprunter de l'argentA la direction, on parle beaucoup d'argent ces derniers temps. Comme annoncé dans notre édition d'hier, les joueurs sont sans salaire depuis 4 mois, cela les agace au plus haut point, et le spectre d'une longue grève a failli ruiner la stabilité et la sérénité de l'équipe cette semaine. Selon nos informations, Khettabi cherche toujours un meilleur plan pour sauver les meubles. Et il était contraint d'emprunter. Au départ, il voulait éviter cette solution mais celle-ci semble la plus envisageable, du moment que les échos disent que le maire d'El Khroub n'a aucune solution pour résoudre cet épineux problème.