Arcades informelles

La question du commerce informel n'en finit pas de susciter remarques et observations de tous genres, de même que nombre d'interventions des services de police ; sans, cependant, que soit éradiqué ce type d'activités commerciales n'éparagnant aucun quartier de la capitale... Il est même des artères, telle la rue Ahmed-Bouzrina (ex-La Lyre) où les vendeurs informels occupent les trottoirs sous arcades au détriment des commerces dûment établis, car les marchandises étalées sur les trottoirs détournent l'attention des vitrines.