L'arbitre sénégalais de la rencontre Algérie-Nigeria, entrant dans le cadre du match de classement pour la 3e place de cette 27e édition de la CAN, en l'occurrence Badarra Diatta, a dirigé honorablement la petite finale.
Pour peu qu'il persévère avec sa stratégie de course, de placement et de collaboration actuelle et améliorer, sinon garder sa condition physique naturelle, avec un sifflet sûr comme à l'habituel, surtout l'utilisation des cartons comme il l'a si bien fait de manière juste et rationnelle. C'est un grand arbitre que gagne l'Afrique avec son côté émotionnel. Le prodige sénégalais a gagné du terrain (compétition) et du métier (expérience) ; pour preuve, son attitude sage affichée lors de la sanction (méritée) du joueur algérien Samir Zaoui en est la meilleure illustration. Le sourire sincère de M. Badarra, en brandissant le carton jaune à l'encontre du défenseur, a dû murmurer entre ses lèvres et en son for intérieur « parce que c'est le règlement qui le prévoit et crois-moi, je ne le fais pas avec plaisir. » C'est pour vous dire, en substance, que les viles intentions trahissent la malhonnêteté et l'inconséquence, et qu'entre arbitre et arbitre c'est ce qui fait la grande différence entre ceux qui acceptent et subissent les ordres des centres de magouilles et d'influence aux fins d'assortir de négativité toute performance. Alors, M. Diatta Badarra, bonne continuation et bonne chance.
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Posté Le : 01/02/2010
Posté par : sofiane
Ecrit par : Salim Oussaci
Source : www.elwatan.com