Algérie

Après 28 ans d'attente, l'Egypte a raté son retour



Battu pour son premier match par l'Uruguay (1-0), puis lors du deuxième par la Russie (3-1), l'Egypte de MohamedSalah a probablement dit aurevoir à une Coupe du mondequ'elle retrouvait après 28 ansd'absence. Une frustrationpour les Egyptiens, quiespéraient une qualificationhistorique pour les huitièmes de finale.Battu pour son premier match par l'Uruguay (1-0), puis lors du deuxième par la Russie (3-1), l'Egypte de MohamedSalah a probablement dit aurevoir à une Coupe du mondequ'elle retrouvait après 28 ansd'absence. Une frustrationpour les Egyptiens, quiespéraient une qualificationhistorique pour les huitièmes de finale.
Cela devait être la belle histoire de cette Coupe du monde 2018.L'Egypte, qui n'avait plus participéà un Mondial depuis l'édition italienne de1990, retrouvait la plus grande compétitioninternationale à l'issue de saisonspleines d'espoir et après s'être relevée deses années noires.
En février 2012, 74 personnesavaient été tuées dans des affrontementsentre supporters. Le massacre dePort-Saïd avait entraîné l'interruption duchampionnat national pour deux saisons,au sortir du soulèvement populaire de janvier2011 et de mois d'instabilité politique.Le football égyptien était alors auplus mal. Il s'est magnifiquement relevé.En mars 2015, Hector Cuper prenait lesrênes de la sélection. Grâce à sa forte expériencede coaching, notamment sur le bancde l'Inter Milan ou de Valence (où il futdeux fois finaliste de la Ligue des champions),l'Argentin qualifiait l'Egypte pourla Coupe d'Afrique 2017, après trois éditionsmanquées par les Pharaons.
Unmoindre mal pour le pays qui détient lerecord de victoires dans cette compétitionavec sept sacres continentaux. Cuper, ànouveau, échouait dans une finale, sa sélection s'inclinant face au Cameroun (2-1), mais retrouvant son prestige d'antan. Sa qualification pour le Mondial russe,dans un groupe maîtrisé, provoquait desscènes de liesse au Caire. Cette fois, l'Egypte, portée par sa star MohamedSalah, retrouvait une visibilité sur lascène internationale et allait participer àson troisième Mondial, avec 1934 et 1990 en Italie.
Cela devait être la belle histoire de cette Coupe du monde 2018.L'Egypte, qui n'avait plus participéà un Mondial depuis l'édition italienne de1990, retrouvait la plus grande compétitioninternationale à l'issue de saisonspleines d'espoir et après s'être relevée deses années noires.
En février 2012, 74 personnesavaient été tuées dans des affrontementsentre supporters. Le massacre dePort-Saïd avait entraîné l'interruption duchampionnat national pour deux saisons,au sortir du soulèvement populaire de janvier2011 et de mois d'instabilité politique.Le football égyptien était alors auplus mal. Il s'est magnifiquement relevé.En mars 2015, Hector Cuper prenait lesrênes de la sélection. Grâce à sa forte expériencede coaching, notamment sur le bancde l'Inter Milan ou de Valence (où il futdeux fois finaliste de la Ligue des champions),l'Argentin qualifiait l'Egypte pourla Coupe d'Afrique 2017, après trois éditionsmanquées par les Pharaons.
Unmoindre mal pour le pays qui détient lerecord de victoires dans cette compétitionavec sept sacres continentaux. Cuper, ànouveau, échouait dans une finale, sa sélection s'inclinant face au Cameroun (2-1), mais retrouvant son prestige d'antan. Sa qualification pour le Mondial russe,dans un groupe maîtrisé, provoquait desscènes de liesse au Caire. Cette fois, l'Egypte, portée par sa star MohamedSalah, retrouvait une visibilité sur lascène internationale et allait participer àson troisième Mondial, avec 1934 et 1990 en Italie.


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