Appel du pied de Salvini à Israël

italienne Matteo Salvini s'est engagé à reconnaître Jérusalem comme capitale de l'Etat hébreu s'il accède un jour au poste de Premier ministre.italienne Matteo Salvini s'est engagé à reconnaître Jérusalem comme capitale de l'Etat hébreu s'il accède un jour au poste de Premier ministre.
Dans un entretien accordé au journal Israel Hayom, l'ex-vice-Premier ministre italien Matteo Salvini a promis de reconnaître Jérusalem en tant que capitale israélienne s'il devient chef du gouvernement. "Oui, absolument", a ainsi répondu très nettement M.Salvini à la question d'unjournaliste portant sur ce sujet.
Dans la même optique, il juge nécessaire pour l'Union européenne de bannir le mouvement BDS (Boycott, désinvestissement et sanctions) qui promeut les boycotts économique, académique, culturel et politique envers Israël et ses citoyens. L'ex-chef adjoint du gouvernement italien a également estimé que l'UE devait se joindre aux sanctions imposées par les Etats-Unis à l'encontre de la République islamique. "Pour y arriver, nous avons besoin d'une Europe forte et libre car aujourd'hui nous sommes malheureusement les otages des intérêts économiques et des préjugés gauchistes anti-américains et anti-israéliens", a souligné Matteo Salvini.
Dans un entretien accordé au journal Israel Hayom, l'ex-vice-Premier ministre italien Matteo Salvini a promis de reconnaître Jérusalem en tant que capitale israélienne s'il devient chef du gouvernement. "Oui, absolument", a ainsi répondu très nettement M.Salvini à la question d'unjournaliste portant sur ce sujet.
Dans la même optique, il juge nécessaire pour l'Union européenne de bannir le mouvement BDS (Boycott, désinvestissement et sanctions) qui promeut les boycotts économique, académique, culturel et politique envers Israël et ses citoyens. L'ex-chef adjoint du gouvernement italien a également estimé que l'UE devait se joindre aux sanctions imposées par les Etats-Unis à l'encontre de la République islamique. "Pour y arriver, nous avons besoin d'une Europe forte et libre car aujourd'hui nous sommes malheureusement les otages des intérêts économiques et des préjugés gauchistes anti-américains et anti-israéliens", a souligné Matteo Salvini.