Algérie

Appel de Bouteflika aux citoyens Elections législatives du 10 mai



Appel de Bouteflika aux citoyens                                    Elections législatives du 10 mai
Une nouvelle fois, le président de la République fait part de l'importance du succès des élections législatives du 10 mai prochain. Le chef de l'Etat reprend les mêmes argument que ceux déjà développés le 23 février dernier pour inciter les Algériens à se rendre aux urnes.
Une nouvelle fois, le président de la République fait part de l'importance du succès des élections législatives du 10 mai prochain. Le chef de l'Etat reprend les mêmes argument que ceux déjà développés le 23 février dernier pour inciter les Algériens à se rendre aux urnes.
«Ils (les citoyens) doivent savoir que la voix de tout un chacun est importante et qu'elle peut influer non seulement sur la prise de décision, mais aussi sur la protection des acquis du pays et leur valorisa
tion », a déclaré le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, dans un message adressé au secrétaire général de l'Organisation nationale des moudjahidine (ONM) à la veille de la tenue du 11e congrès dont les travaux débutent aujourd'hui à Alger. C'est un nouvel appel que lance le chef de l'Etat aux Algériens pour participer massivement aux élections législatives du 10 mai prochain. Le président de la République explique que « le patriotisme authentique est synonyme de bonne citoyenneté qui doit prendre forme dans le comportement exemplaire de tous les membres de la société mais également dans leur engagement à assumer leurs responsabilités, accomplir au mieux leur devoir national et exercer pleinement leur droit constitutionnel à travers leur participation massive aux prochaines échéances électorales, à commencer par les élections législatives ». Dans ce contexte, Abdelaziz Bouteflika souligne que « la véritable révolution n'est autre qu'une volonté de changement, d'édification et de renouveau continu », affirmant que « les citoyens sont appelés à exprimer librement leur choix ».
Le sens des réformes politiques
Il rappelle que « notre pays qui est passé de la légitimité révolutionnaire à la légitimité constitutionnelle, poursuit sa marche ponctuée de réformes politiques dans le sens de la modernisation des institutions de la République, la consolidation de l'Etat de droit, l'ancrage de la pratique démocratique, la protection des libertés et la promotion des droits de l'homme ». Pour le chef de l'Etat, « autant d'efforts, pour édifier une société équilibrée et prospère où la citoyenneté se dévoile sous sa forme la plus noble et où tous les Algériens jouissent d'une vie digne et décente ». Il se dit « convaincu que les prochaines élections législatives qui interviendront à la lumière de nouvelles donnes, en termes de garanties offertes et de moyens juridiques confortés et autres exigences, constitueront une transition sûre et de qualité qui cadre avec la volonté de changement et avec notre détermination à éradiquer certains procédés résiduels qui ont entaché les structures publiques voire l'image des institutions de l'Etat et leurs missions », et il estime à cet effet que
« l'élection d'une assemblée législative avec une composante humaine qui traduit la libre volonté du peuple et la représente de la meilleure manière qui soit, est une démarche susceptible de renforcer le processus de développement et de progrès dans les autres domaines ». Dans ce cadre, le président de la République souligne qu'il « serait réellement heureux de voir notre nation concrétiser ce projet alors qu'elle s'apprête à célébrer le cinquantenaire du recouvrement de la souveraineté nationale et prouver ainsi sa capacité de préserver cet acquis arraché au prix d'immenses sacrifices ». Dans ce sillage, Abdelaziz Bouteflika explique que la réforme « vise dans son essence l'orientation du mouvement de vie des individus vers des valeurs à même d'améliorer la qualité de cette vie mais elle ne doit pas pour autant déboucher sur une cassure globale dans le système social avec les graves conséquences pouvant en découler », et précise qu'il « entend par là que la réforme, donc le redressement de la trajectoire, est avant tout une nécessité et un devoir national qui vise à opérer des changements fondamentaux dans le système social et politique avec efficacité et conformément aux choix et aux aspirations populaires. Mais il n'est pas question de partir sur des bases sans identité car une telle attitude risque de porter un coup à la réforme en question et de produire un effet contraire à ses objectifs ». Ce qu'il faut comprendre, dira-t-il « c'est que la transition vers un nouveau mode de pratique politique, d'exercice des libertés individuelles et collectives et de liberté d'expression et de critique, est une évolution naturelle et une étape incontournable si nous voulons appréhender la nouvelle réalité avec les moyens nécessaires, une entreprise qui loin de renier ni dénigrer les efforts précédemment consentis, ambitionne de les consolider ». Elle est aussi, assure-t-il, «une exigence nationale dans toute sa spécificité et sa différence tout comme l'était la glorieuse révolution de Novembre singulière par sa méthode, ses hommes et son message ».
Ecriture de l'Histoire : sauver ce qui peut être sauvé
Evoquant la question de l'écriture de l'histoire, le chef de l'Etat met en exergue le facteur temps et déclare que « le temps passe emportant avec lui des hommes et des femmes au fait des secrets de l'histoire, et aujourd'hui nous sommes face à une situation qui ne tolèrerait ni négligence ni retard », notant que « toutes les fois qu'un moudjahid disparaît, indépendamment de sa position dans la pyramide de la révolution, nous enterrons avec lui une partie de l'histoire, et une information précieuse s'en va si elle ne venait pas à être enregistrée et répertoriée ». Dans ce contexte, il lance un appel aux acteurs de l'histoire « à sauver ce qui peut être sauvé » et souligne qu' « il est temps de sensibiliser les jeunes à l'importance des enjeux présents et à venir, de leur ouvrir la voie, de les inciter à s'impliquer dans les mutations que connaît la société et à participer activement au développement du pays de manière à lui permettre d'occuper la place qui lui sied ».
«Ils (les citoyens) doivent savoir que la voix de tout un chacun est importante et qu'elle peut influer non seulement sur la prise de décision, mais aussi sur la protection des acquis du pays et leur valorisa
tion », a déclaré le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, dans un message adressé au secrétaire général de l'Organisation nationale des moudjahidine (ONM) à la veille de la tenue du 11e congrès dont les travaux débutent aujourd'hui à Alger. C'est un nouvel appel que lance le chef de l'Etat aux Algériens pour participer massivement aux élections législatives du 10 mai prochain. Le président de la République explique que « le patriotisme authentique est synonyme de bonne citoyenneté qui doit prendre forme dans le comportement exemplaire de tous les membres de la société mais également dans leur engagement à assumer leurs responsabilités, accomplir au mieux leur devoir national et exercer pleinement leur droit constitutionnel à travers leur participation massive aux prochaines échéances électorales, à commencer par les élections législatives ». Dans ce contexte, Abdelaziz Bouteflika souligne que « la véritable révolution n'est autre qu'une volonté de changement, d'édification et de renouveau continu », affirmant que « les citoyens sont appelés à exprimer librement leur choix ».
Le sens des réformes politiques
Il rappelle que « notre pays qui est passé de la légitimité révolutionnaire à la légitimité constitutionnelle, poursuit sa marche ponctuée de réformes politiques dans le sens de la modernisation des institutions de la République, la consolidation de l'Etat de droit, l'ancrage de la pratique démocratique, la protection des libertés et la promotion des droits de l'homme ». Pour le chef de l'Etat, « autant d'efforts, pour édifier une société équilibrée et prospère où la citoyenneté se dévoile sous sa forme la plus noble et où tous les Algériens jouissent d'une vie digne et décente ». Il se dit « convaincu que les prochaines élections législatives qui interviendront à la lumière de nouvelles donnes, en termes de garanties offertes et de moyens juridiques confortés et autres exigences, constitueront une transition sûre et de qualité qui cadre avec la volonté de changement et avec notre détermination à éradiquer certains procédés résiduels qui ont entaché les structures publiques voire l'image des institutions de l'Etat et leurs missions », et il estime à cet effet que
« l'élection d'une assemblée législative avec une composante humaine qui traduit la libre volonté du peuple et la représente de la meilleure manière qui soit, est une démarche susceptible de renforcer le processus de développement et de progrès dans les autres domaines ». Dans ce cadre, le président de la République souligne qu'il « serait réellement heureux de voir notre nation concrétiser ce projet alors qu'elle s'apprête à célébrer le cinquantenaire du recouvrement de la souveraineté nationale et prouver ainsi sa capacité de préserver cet acquis arraché au prix d'immenses sacrifices ». Dans ce sillage, Abdelaziz Bouteflika explique que la réforme « vise dans son essence l'orientation du mouvement de vie des individus vers des valeurs à même d'améliorer la qualité de cette vie mais elle ne doit pas pour autant déboucher sur une cassure globale dans le système social avec les graves conséquences pouvant en découler », et précise qu'il « entend par là que la réforme, donc le redressement de la trajectoire, est avant tout une nécessité et un devoir national qui vise à opérer des changements fondamentaux dans le système social et politique avec efficacité et conformément aux choix et aux aspirations populaires. Mais il n'est pas question de partir sur des bases sans identité car une telle attitude risque de porter un coup à la réforme en question et de produire un effet contraire à ses objectifs ». Ce qu'il faut comprendre, dira-t-il « c'est que la transition vers un nouveau mode de pratique politique, d'exercice des libertés individuelles et collectives et de liberté d'expression et de critique, est une évolution naturelle et une étape incontournable si nous voulons appréhender la nouvelle réalité avec les moyens nécessaires, une entreprise qui loin de renier ni dénigrer les efforts précédemment consentis, ambitionne de les consolider ». Elle est aussi, assure-t-il, «une exigence nationale dans toute sa spécificité et sa différence tout comme l'était la glorieuse révolution de Novembre singulière par sa méthode, ses hommes et son message ».
Ecriture de l'Histoire : sauver ce qui peut être sauvé
Evoquant la question de l'écriture de l'histoire, le chef de l'Etat met en exergue le facteur temps et déclare que « le temps passe emportant avec lui des hommes et des femmes au fait des secrets de l'histoire, et aujourd'hui nous sommes face à une situation qui ne tolèrerait ni négligence ni retard », notant que « toutes les fois qu'un moudjahid disparaît, indépendamment de sa position dans la pyramide de la révolution, nous enterrons avec lui une partie de l'histoire, et une information précieuse s'en va si elle ne venait pas à être enregistrée et répertoriée ». Dans ce contexte, il lance un appel aux acteurs de l'histoire « à sauver ce qui peut être sauvé » et souligne qu' « il est temps de sensibiliser les jeunes à l'importance des enjeux présents et à venir, de leur ouvrir la voie, de les inciter à s'impliquer dans les mutations que connaît la société et à participer activement au développement du pays de manière à lui permettre d'occuper la place qui lui sied ».


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