Les deux journées sur le cinéma organisées par la direction de la maison de la Culture Mohamed Boudiaf qui se sont clôturées lundi, ont permis aux cinéastes présents de présenter leurs nouveaux courts-métrages et, par la même occasion, de parler du cinéma ancien et nouveau, à travers les différentes communications développées par des cinéastes. Au total plus d'une dizaine de films ont été présentés au public parmi lesquels «Crime» du réalisateur Madjudaoui Houcine qui raconte une histoire de jeunes drogués. «Cri de l'âme» - «L'Enfant des roses» et «Syndrome du 11 septembre» ont intéressé également l'assistance. Tout comme d'ailleurs «Cessez-le-feu, «Repère». De l'avis même des cinéastes, il y a un travail de qualité sérieusement recherché et d'un niveau appréciable. De son côté le cinéaste Djamel Hazourli dira «après le festival d'Oran et les journées de Annaba, on sent qu'il y a un regain d'intérêt certain pour le 7e art, car la culture ne meurt jamais. Elle revit.
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Posté Le : 23/07/2008
Posté par : sofiane
Ecrit par : Tayeb Zgaoula
Source : www.lequotidien-oran.com