Algérie

Anarchie urbanistique à Tiaret : Silence on' détourne !



À Tiaret, il ne se passe pas un jour sans qu'un citoyen ou un comité de quartier n'avise sur cette anarchie ambiante qui régente l'urbanisme au chef-lieu. Après l'épisode du détournement d'un passage au niveau de la cité dite « CADAT » voilà que ça recommence du côté d'« Errahma ». À la cité « CADAT », la vente d'une villa par un cadre de la nation tourne au cauchemar pour Lakhdar Bouziane et ses voisins. Les résidants du quartier « Erahma 2 » disent être « outrés par une attitude qui a consisté au détournement d'un espace par un voisin ». Les plaignants, dans une lettre-pétition à destination des autorités, expliquent la situation par « un acte illégal d'un voisin qui, après s'être accaparé d'une extension, a totalement empiété sur l'accès dont la voierie ». « La situation, ainsi créée, a engendré une impossibilité de circuler en voiture et risque même de porter un sérieux coup au commerce », ajoutent, attristés, les rédacteurs de la lettre dont copie a été adressée aux représentants de la presse.Plus loin, explicitent nos sources, « il y a eu plainte au niveau des services de la police d'urbanisme mais rien n'a été fait ». Pis encore, « cette personne aurait bénéficié de la complicité de l'entreprise qui effectue des travaux d'aménagements urbains pour s'accaparer d'un grand espace ». Devant cet acte, l'énième du genre de détournement d'espaces du foncier urbain, l'on semble jouir, quelque part, de « protections », insinuent les protestataires qui évoquent aussi « des bras longs ». Loin d'être un cas isolé, si l'on se remémore l'affaire de la « CADAT », la manière avec laquelle les gens détournent le foncier au chef-lieu de wilaya reste scandaleux.Trop souvent et en dépit des alertes, les responsables concernés jettent la balle dans le camp de la justice alors que les mesures d'urbanisme édictées dans la toute dernière loi donne la latitude à la DUC (Direction de l'urbanisme et de la construction) pour dissuader les contrevenants. À trop s'y méprendre, c'est là un modus vivendi qui fonctionne à merveille s'agissant de l'anarchie urbanistique.


Je suis immigré en France et je pqsse le Ramadhan à Tiaret avec mes grands parents . Je dois vous dire que je suis en colère et choqué de cette ville qui est devenue un grand souk rural .Il n y a ni sécurité,ni hygiène ,ni civisme et ni autorités . On observe des centqines de mendiants et de fous qui sillonnent les rues surtout aprées El Adhan du soir . On remarque des jeunes gens qui se donnent à la drogue et profèrent des obsénités envers les jeunes filles.Les marchands de légumes et de viande ne respectent ni ce mois sacré ni la population qui est en général trés pauvre . Des intégristes avec des barbes des talibans qui font la loi dans les quartiers populaires (Volani,Lombard,Sidi Khaled,El Battoir,Zaarora...) .Des policiers en civil corrompu qui achètent des joints auprés des jeune sans aucune honte .Des prostituéés venues des villages voisinent qui vendent leurs charmes dans les lieux publics.Il n y a aucune culture si ce n est les dominos et le poker le soir dans les cafés .Ce dernier jeudi j ai été a la cinémathèque et j ai été révolté (le film qui se coupe et des jeunes qui crient et il y a eu mème une agression au couteau envers un spectateur ) . Cette ville est pleine de tqlibans et de mosquées,pleine de voleurs et de drogués ,pleine de corrompus et de prostituées et mème de pd. C est une ville totalement abandonnée ,sans maire,sans justice,sans préfet et se trouve dans les mains de terroristes barbus et de la maffia sicilienne .Les enfants de la ville sont abandonnées et sont aussi complice de cette situation .Huereusement que je repqrs sur Paris le 10 septembre pour l AID et j ai dit à ma grand mère que je ne reviendrai plus jamais dans cette "ferme" au milieu de ces barbares.
Sofiane - Etudiant - Paris, France

20/08/2010 - 6098

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