Depuis qu'il a été ouvert, il y a plus d'une année, il baigne dans une indescriptible anarchie. En raison de la l'étroitesse des lieux, les marchands qui n'y trouvent pas place s'installent à l'extérieur en occupant le trottoir et une bonne partie de la chaussée.
Les automobilistes qui empruntent cette route le jour du grand marché y passent difficilement. Pis encore, en plus de la chaussée, les vendeurs squattent aussi un autre espace qui sert de parc de stationnement pour les bus de transport en commun assurant la desserte Alger-Bouira.
Ainsi, les transporteurs de la commune d'Ath Lâaziz dont la station est complètement envahie par les marchands, travaillent dans de pires conditions. C'est le désordre. Même les piétons ont eu leur part de calvaire. Passer par là les jours du week-end, à pied ou en véhicule, cela risque de prendre beaucoup de temps et faire monter l'adrénaline. En outre, ce marché qui se trouve à quelques pas du centre universitaire Akli Mohand Oulhadj, en est une source de nuisance pour les étudiants.
Le samedi, il est difficile de suivre normalement son cours lorsque, à moins d'une centaine de mètres, un marchand crie avec un haut-parleur. Le son assourdissant qu'émettait cet appareil est entendu à plus de 500 m à la ronde. C'est dire que les considérables désagréments qu'il provoque à chaque vocifération. Devant cette situation, les autorités locales tardent à rétablir l'ordre dans ce marché.
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Posté Le : 23/11/2010
Posté par : sofiane
Ecrit par : Ali Cherarak
Source : www.elwatan.com