Cet article analyse les modes de fonctionnement des théâtres
publics en Algérie de 1962 à nos jours. L’analyse démontre que les
statuts (EPIC) qui régissent ces entreprises culturelles ne sont pas
directement responsables de la crise structurelle qui les caractérise,
mais sont plutôt victimes de la non-application, dans son ensemble, de
la triade : gestion commerciale, contrôle de l’Etat et reconnaissance du
but non lucratif, proposée ici comme un remède pour palier les
difficultés générées par l’aspect «non formalisable» de l’activité
culturelle.
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Posté Le : 23/05/2021
Posté par : einstein
Ecrit par : - Kessab Ammar
Source : Les cahiers du CREAD Volume 27, Numéro 95, Pages 101-119