Algérie

Analyse D’un Texte De Mouloud Feraoun



Je fus brutalement réveillé par les cris de ma mère et de mes sœurs : ma douce Nana venait d’expirer. Oh ! Je me rappellerai toujours ces cris et la suprême angoisse qui me fit sursauter, m’enleva de ma couchette et me fit hurler d’épouvante. Chaque fois que j’entends les lamentations de nos femmes sur les morts, je frisonne malgré moi car elles me rappellent toujours le déchirant réveil qui m’apprit la mort de ma tante.

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