Algérie

Aménagement partiel du chef-lieu



Aménagement partiel du chef-lieu
Le projet de revêtement des trottoirs du chef-lieu de la commune de Bouzeguène s'éternise au grand dam des piétons qui doivent encore tenir leur mal en patience face à l'insécurité routière.Le projet devant sécuriser toutes les rues du chef-lieu est à l'arrêt depuis deux mois. Les responsables de l'entreprise que nous avons approchés pour leur demander s'ils allaient poursuivre les travaux jusqu'à la limite du périmètre urbain, nous ont rétorqué qu'ils avaient respecté le cahier des charges et que les travaux sont de fait achevés.Or, sur le terrain, de grands espaces d'accotement sont restés à l'abandon. Les piétons sont souvent obligés de quitter la route pour éviter d'être percutés par des véhicules. Ainsi, sur le CW251, à la sortie est du chef-lieu, un accotement de route long de plus 500 m est resté en «jachère», livré aux eaux pluviales de l'hiver.Les travaux du premier trottoir qui devraient se poursuivre jusqu'à la limite de la zone urbaine ont été arrêtés. Du coup, c'est près de 150 m de voie piétonne dénudée au lieudit Tagounsa qui n'a pas bénéficié du revêtement en dalles de carrelage. Ce tronçon, qui est réputé très dangereux, a enregistré dans le passé de graves accidents. «C'est ici que nous arrêtons les travaux, allez voir le patron», nous a dit le maçon de l'entreprise.Sur le même côté du trottoir, en plein chef-lieu, une cinquantaine de mètres de caniveaux enlisés ont été omis en raison de l'opposition du propriétaire de l'habitation qui a refusé de procéder au démantèlement d'une grosse dalle afin de procéder au nettoyage. Malheureusement, les responsables de l'APC n'ont pas pu régler le problème et après plusieurs jours de palabres et d'attente, l'entrepreneur a été obligé de faire l'impasse sur ce tronçon. De gros madriers ont obstrué tout le canal empêchant les eaux de couler. Des excavations et des blocs de béton mettent en danger les piétons.


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