Le ministère de l'Environnement n'aurait, jusque-là, consommé qu'une partie minime du budget alloué par le gouvernement, alors qu'une dizaine d'Epic et d'Epea rattachées à ce département se trouvent dans une situation financière catastrophique, selon Amara Benyounès, qui affirme qu'en 2012, aucune étude n'a été réalisée dans le secteur. S'il y a un point que le ministre ne semble pas tout à fait comprendre, c'est celui de l'infructuosité des marchés publics lancés par ce département ; «Plus de 98% des marchés publics lancés par ce secteur sont déclarés infructueux ».
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Posté Le : 27/04/2013
Posté par : presse-algerie
Ecrit par : Réflexion
Source : www.reflexiondz.net