Algérie

Alors que quatre terroristes ont été abattus à Tizi-Ouzou



Le fils Benhadj serait parmi un groupe encerclé Les forces de sécurité sont parvenues à éliminer quatre terroristes, mercredi et jeudi, dans deux opérations armées, l’une à Thissirth N’Cheikh et l’autre à Ighzer Izemmouren. Deux terroristes, qui écumaient la wilaya de Tizi-Ouzou, ont été éliminés mercredi au lieudit Thissirth N’Cheikh, par une patrouille de l’ANP qui a récupéré deux kalachnikovs. L’un des deux terroriste a été identifié comme étant M. Akli, alias Abou Sofiane, âgé de 26 ans, originaire de Cheriet (Sidi Naamane) et monté au maquis en 1999. L’identification du second est, elle, toujours en cours. D’autre part, jeudi soir, deux autres terroristes ont été abattus sur le chemin de wilaya n°147, au lieudit Ighzer Izemmouren, entre Souk El-T’nine et Mechtras, dans le sud de la wilaya. Selon nos sources, les forces de sécurité agissant sur renseignements avaient tendu une embuscade à un groupe de trois terroristes circulant à bord d’une Renault Mégane blanche. Au cours de l’échange de tirs qui s’en est suivi deux terroristes ont ainsi été éliminés tandis que le troisième aurait réussi à prendre la fuite. D’autre part, nous venons d’apprendre de certaines sources d’informations qu’un autre groupe terroriste, dont ferait partie le fils de Ali Benhadj, Abdelqahar, serait encerclé dans la région. Pour rappel, c’est le compagnon d’aventure et fils de son quartier qui s’était rendu avec «arme et bagage» aux forces de sécurité qui avait confirmé à la mi-décembre 2006 que le fils de Ali Benhadj avait effectivement rejoint les maquis du GSPC à Boumerdès. Le repenti avait alors révélé son «histoire» avec le fils de Ali Benhadj et son parcours. Il avait raconté donc avec détail les circonstances dans lesquelles lui et le fils de Ali Benhadj avaient décidé de prendre le chemin du maquis, «après la prière de l’aube, durant la dernière semaine du mois de Ramadhan dernier», en qualifiant les conditions de son séjour au maquis d’enfer. A rappeler aussi que le numéro 2 du parti dissous avait au début refusé catégoriquement cette thèse en accusant les «services de l’Etat» d’être responsables du sort de son fils. M. Chabane


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