Algérie

Alors que le film de Lalla Maghnia a été projeté en avant-première : Le film «Echajara Etayiba» projeté aujourd'hui



Alors que le film de Lalla Maghnia a été projeté en avant-première : Le film «Echajara Etayiba» projeté aujourd'hui
«L'arbre béni», «Echadjara Taïba», un film documentaire et de fiction de 52 minutes réalisé par Rabah Laradji consacré à Abderrahmane et son frère Aïssa plus connus sous le nom de «Fils de l'imam». Le film documentaire «Lalla Maghnia» produit par le ministère de la Culture dans le cadre de la manifestation «Tlemcen, capitale de la culture islamique 2011», et qui a été projeté en avant première a drainé un  bon nombre d'hommes de culture et de férus du 7e  art.Réalisé par Mustapha Hacini et mis  en scène par Omar Dib, le film évoque la vie de cette femme qui ne manqua jamais de rien, et dès l'âge le plus tendre avait une extraordinaire aptitude pour les études et les sciences. Fille d'un savant soufi, elle a tôt fait d'approfondir toutes les connaissances humaines. Elle acquit en peu de temps une réputation telle que tous les savants du pays virent en elle une femme de science et de savoir élevés. Le réalisateur Mustapha Hacini  a tenté à  travers son film, de retracer le parcours de cette femme pieuse du XVIIIe siècle Par ailleurs, un autre film documentaire sera projeté aujourd'hui à  Tlemcen. il s'agit de «L'arbre béni», «Echadjara Taïba», un film documentaire et de fiction de 52 minutes réalisé par Rabah Laradji consacré à  Abderrahmane et son frère Aïssa plus connus sous le nom de «Fils de l'imam».  Ces deux frères ont été les premières racines de cet arbre béni de connaissances à  Tlemcen dont les ramifications donnèrent naissance à  un autre grand savant tlémcenien Abdelkader eL Medjaoui, au milieu du XIXe siècle. Tlemcen est donc restée un palais de la culture arabe , et un champ fertile pour l'innovation en général, et la littérature en particulier. Lorsque cette ville est évoquée, des noms qui se sont inscrits dans l'histoire littéraire viennent à  l'esprit comme Ibn Khamis, les fils de l'imam, cheikh al-Sanussi, Sidi Boumedienne… Aussi le film est considéré comme un lien avec  la vie de cette ville empreinte de grands noms de savants.


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