Algérie

« Alliance » de quatre syndicats contre la Direction générale


Même si les PNC ont repris mardi, le travail, après que leur grève eût été déclarée « illégale » par le tribunal de Dar El Beida, la tension persiste et laisse augurer de nouvelles turbulences.Même si les PNC ont repris mardi, le travail, après que leur grève eût été déclarée « illégale » par le tribunal de Dar El Beida, la tension persiste et laisse augurer de nouvelles turbulences.
Et pour cause, quatre syndicats, faisant jouer la solidarité corporatiste, se sont fendus, mardi soir, d'un communiqué au vitriol dans lequel ils accusent les responsables de l'entreprise et particulièrement son staff dirigeant « de mauvaise gestion » et de « faiblesse de niveau. » Pour les quatre syndicats (pilotes, maintenance, PNC, administration) « Air Algérie vit en ce moment les pires jours de son existence et va de mal en pis à cause d'une mauvaise administration et une mauvaise gestion qui conduiront inévitablement à des manifestations, des grèves à travers différentes filières. »
Ne lésinant pas sur le choix des mots, les quatre syndicats parlent également de "pourrissement de la situation », accusant la Direction de « ne pas respecter ses engagements », suite aux accords signés et de « refuserle dialogue.» La litanie des accusations continue dans le communiqué qui parle aussi de « non respest de la loi du travail », par cette même administration, « qui n'a pas de feuille de route, de vision ni d'horizons pour l'entreprise » En conséquence et en conclusion, les quatre syndicats en appellent aux autorités pour leur demander « une intervention en urgence pour sauver l'entreprise, plus que jamais menacée dans sa pérennité. »
La balle est donc dans le camp des autorités qui ont le choix entre injecter de l'argent pour satisfaire les appétits des syndicats et donc entretenir le statu quo, au nom de la paix sociale, ou avoir le courage de "dégraisser le mammouth » en soumettant AH aux règles de laconcurrence et de la compétitivité, comme toutes les campagnies dignes de ce nom.
Et pour cause, quatre syndicats, faisant jouer la solidarité corporatiste, se sont fendus, mardi soir, d'un communiqué au vitriol dans lequel ils accusent les responsables de l'entreprise et particulièrement son staff dirigeant « de mauvaise gestion » et de « faiblesse de niveau. » Pour les quatre syndicats (pilotes, maintenance, PNC, administration) « Air Algérie vit en ce moment les pires jours de son existence et va de mal en pis à cause d'une mauvaise administration et une mauvaise gestion qui conduiront inévitablement à des manifestations, des grèves à travers différentes filières. »
Ne lésinant pas sur le choix des mots, les quatre syndicats parlent également de "pourrissement de la situation », accusant la Direction de « ne pas respecter ses engagements », suite aux accords signés et de « refuserle dialogue.» La litanie des accusations continue dans le communiqué qui parle aussi de « non respest de la loi du travail », par cette même administration, « qui n'a pas de feuille de route, de vision ni d'horizons pour l'entreprise » En conséquence et en conclusion, les quatre syndicats en appellent aux autorités pour leur demander « une intervention en urgence pour sauver l'entreprise, plus que jamais menacée dans sa pérennité. »
La balle est donc dans le camp des autorités qui ont le choix entre injecter de l'argent pour satisfaire les appétits des syndicats et donc entretenir le statu quo, au nom de la paix sociale, ou avoir le courage de "dégraisser le mammouth » en soumettant AH aux règles de laconcurrence et de la compétitivité, comme toutes les campagnies dignes de ce nom.
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