Alimentation en eau potable et irrigation

Le système hydraulique de Koudiat Acerdoune est une AP globale de près de 130 milliards DA avec 1.5 million d'habitants alimentés, 19.000 ha à irriguer.Le système hydraulique de Koudiat Acerdoune est une AP globale de près de 130 milliards DA avec 1.5 million d'habitants alimentés, 19.000 ha à irriguer.Le ministère des Ressources en eau nous a fait savoir qu'il a procédé cette semaine à la mise en service de deux transferts d'eau faisant partie du plus grand système hydraulique du centre du pays, en l'occurrence le système Koudiat acerdoune, étanchant ainsi la soif de plus d' un million d'habitants dans les wilayas de Bouira, Médéa et M'sila. La mise en service officielle a eu lieu jeudi en présence du Premier ministre, Abdelmalek Sellal, en visite de travail officielle dans la wilaya de Bouira.Le système hydraulique de Koudiat Acerdoune est un projet structurant majeur destiné à l'alimentation en eau potable d'une population d'environ 1.500.000 habitants dans les wilayas de Bouira, Tizi-Ouzou, M'sila et Médéa ainsi que le renforcement de l'irrigation du périmètre de la Mitidja-Est (Hamiz) sur une superficie de 18.000 hectares et l'irrigation du futur périmètre du moyen Issers sur 1.000 hectares, ajoute cette source.Outre le barrage d'une capacité de 640 millions de m3, le deuxième plus grand barrage en Algérie, le système Koudiat Acerdoune est composé de trois grands transferts : le premier, d'une longueur de 34 km, est déjà mis en service depuis 2010 et dessert une population de 360.000 habitants situés sur l'axe Lakhdaria, Draâ El-Mizan, Boghni et Ouadhias. Le deuxième, d'une longueur de 120 km et devant alimenter près de 320.000 habitants, a été mis en service jeudi par le Premier ministre alimentant les localités d'Aïn-Bessam, Aïn-Lahdjar, Aïn-Aloui, Sour El-Ghozlane et Raouraoua.Il ne manque plus que 4,5 km linéaire de conduites à poser pour atteindre les daïras de Sidi-Aïssa et de Aïn-Lahdjel (Msila) qui seront alimentées vers la fin du mois de février, selon le ministère.Par ailleurs, les conduites des deux branches constituant le troisième transfert d'une longueur de 194 km sont actuellement en cours de rinçage.Pas moins de 750.000 habitants des centres urbains situés sur les axes Koudiat Acerdoune ?Tablat, Seriet, Sedraia, El-Guelb el-kebir, El-Azzizia, Béni Slimane, El- Omaria, Sidi Nâamane, Berrouaghia, Ksar El-Boukhari et Boughzoul vont pouvoir bénéficier, avant la fin du mois courant, d'une alimentation en eau potable en continu à partir du barrage de Koudiat Acerdoune.Le système hydraulique de Koudiat Acerdoune est une AP globale de près de 130 milliards DA avec 1.5 million d'habitants alimentés, 19.000 ha à irriguer (Mitidja-Est et Issers) ayant un barrage d'une capacité de 640 millions de mètres cubes. Ce système est doté d'une station de traitement d'une capacité de 346.000 m3/j sur une longueur de 390 km linéaires de conduites de différents diamètres et pourvu de 13 stations de pompage et de 18 réservoirs.Les experts estiment que la bataille de l'eau est déjà engagée en ce sens que les défis à respecter pour gagner la stratégie en matière de disponibilité hydrique se situe dans l'optique de l'horizon 2050 où l'eau deviendra une denrée aussi cher et utile que le pétrole, notamment durant les périodes de réchauffement climatique.Le ministère des Ressources en eau nous a fait savoir qu'il a procédé cette semaine à la mise en service de deux transferts d'eau faisant partie du plus grand système hydraulique du centre du pays, en l'occurrence le système Koudiat acerdoune, étanchant ainsi la soif de plus d' un million d'habitants dans les wilayas de Bouira, Médéa et M'sila. La mise en service officielle a eu lieu jeudi en présence du Premier ministre, Abdelmalek Sellal, en visite de travail officielle dans la wilaya de Bouira.Le système hydraulique de Koudiat Acerdoune est un projet structurant majeur destiné à l'alimentation en eau potable d'une population d'environ 1.500.000 habitants dans les wilayas de Bouira, Tizi-Ouzou, M'sila et Médéa ainsi que le renforcement de l'irrigation du périmètre de la Mitidja-Est (Hamiz) sur une superficie de 18.000 hectares et l'irrigation du futur périmètre du moyen Issers sur 1.000 hectares, ajoute cette source.Outre le barrage d'une capacité de 640 millions de m3, le deuxième plus grand barrage en Algérie, le système Koudiat Acerdoune est composé de trois grands transferts : le premier, d'une longueur de 34 km, est déjà mis en service depuis 2010 et dessert une population de 360.000 habitants situés sur l'axe Lakhdaria, Draâ El-Mizan, Boghni et Ouadhias. Le deuxième, d'une longueur de 120 km et devant alimenter près de 320.000 habitants, a été mis en service jeudi par le Premier ministre alimentant les localités d'Aïn-Bessam, Aïn-Lahdjar, Aïn-Aloui, Sour El-Ghozlane et Raouraoua.Il ne manque plus que 4,5 km linéaire de conduites à poser pour atteindre les daïras de Sidi-Aïssa et de Aïn-Lahdjel (Msila) qui seront alimentées vers la fin du mois de février, selon le ministère.Par ailleurs, les conduites des deux branches constituant le troisième transfert d'une longueur de 194 km sont actuellement en cours de rinçage.Pas moins de 750.000 habitants des centres urbains situés sur les axes Koudiat Acerdoune ?Tablat, Seriet, Sedraia, El-Guelb el-kebir, El-Azzizia, Béni Slimane, El- Omaria, Sidi Nâamane, Berrouaghia, Ksar El-Boukhari et Boughzoul vont pouvoir bénéficier, avant la fin du mois courant, d'une alimentation en eau potable en continu à partir du barrage de Koudiat Acerdoune.Le système hydraulique de Koudiat Acerdoune est une AP globale de près de 130 milliards DA avec 1.5 million d'habitants alimentés, 19.000 ha à irriguer (Mitidja-Est et Issers) ayant un barrage d'une capacité de 640 millions de mètres cubes. Ce système est doté d'une station de traitement d'une capacité de 346.000 m3/j sur une longueur de 390 km linéaires de conduites de différents diamètres et pourvu de 13 stations de pompage et de 18 réservoirs.Les experts estiment que la bataille de l'eau est déjà engagée en ce sens que les défis à respecter pour gagner la stratégie en matière de disponibilité hydrique se situe dans l'optique de l'horizon 2050 où l'eau deviendra une denrée aussi cher et utile que le pétrole, notamment durant les périodes de réchauffement climatique.