La situation professionnelle des ex-agents d'Algérie-Télécom, relevant du centre émetteur Sidi Amar à Frenda, reversés chez un organisme privé de sécurité, aujourd'hui dissoute (SPAS), continue de défrayer la chronique locale mais reste toujours pendante au niveau de la justice.
Les agents protestataires, qui crient à l'injustice car non intégrés mais tout de même payés par voie de justice, arguent « de décisions de justice rendues en leur faveur et par le tribunal de Frenda et par la cour de Tiaret », alors que monsieur Zerokat, directeur d'Algérie-Télécom parle, lui, « d'un vieux contentieux qu'il tente de régler non sans attendre le verdict final de la Cour suprême devant laquelle l'entreprise a introduit un dernier appel ».Tout en rappelant les péripéties ayant valu la séparation de ces agents d'AT depuis voilà trois ans, ce responsable n'exclut pas un licenciement avec versement de leurs dus aux protestataires. Ayant « intégré les PTT en 1997 (le 15/12/97) après la restructuration de l'entreprise mère, nous fumes versés vers AT en vertu d'un arrêté ministériel daté du 26/01/2003, en application de la loi 03/2000 du 5/08/2000 définissant les missions de l'entreprise, nous sommes en droit d'exiger notre réintégration », ajoutent les plaignants dans une lettre rendue publique.
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Posté Le : 11/02/2010
Posté par : sofiane
Ecrit par : A. F.
Source : www.elwatan.com