Des larmes de crocodile sont versées à chaque fois qu'on évoque le sujet du cèdre de l’Atlas.
 Cependant, qu'a-t-on fait réellement pour protéger cet arbre noble (Idhguel, en berbère)?
Rien, hormis des discours de bonnes intentions dans des salons calfeutrés loin de la réalité.
À travers les Aurès, aussi bien dans le parc de Belezma que sur les cimes du Chelia à plus de 2.000 mètres d'altitude, le cèdre meurt en silence.
Un seul arbre, plusieurs ennemis: dépérissement, feux de forêt et nids de chenille processionnaire... et on ne lève pas le petit doigt.
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Posté Le : 07/05/2014
Posté par : akarENVIRONNEMENT
Photographié par : Photo: Liberté ; texte: Rubrique Radar
Source : liberte-algerie.com du mardi 6 mai 2014