Algérie

Algérie - Marché des boissons: Des producteurs dénoncent la concurrence déloyale


Algérie - Marché des boissons: Des producteurs dénoncent la concurrence déloyale
Sur les quelque 1.200 producteurs de boissons au niveau national, seulement une dizaine d'entre eux respectent rigoureusement les règles d'hygiène. Toutefois, pour un nombre assez important d'opérateurs, le «minimum requis » en la matière est observé. Un grand travail reste à faire, en tout cas, en matière de process de fabrication, d'hygiène et de qualité, de traçabilité et d'étiquetage, dans la filière «limonades, jus de fruits, nectars et produits dérivés», marquée par une prolifération quasi incontrôlée des limonaderies de quartier.

C'est le constat qui ressort du diagnostic effectué dans le cadre du programme d'appui PME II, cofinancé par l'Algérie et l'Union européenne (UE), en partenariat avec l'Association des producteurs algériens de boissons (APAB), ciblant ce segment de l'agroalimentaire. Justement, ce programme PME II (son intitulé officiel est le Programme d'appui aux PME/PMI et à la maîtrise des technologies d'information et de communication), doté d'une enveloppe de 44 millions d'euros, vise la mise à niveau de l'industrie des boissons, entre autres filières mal en point, et dont les dysfonctionnements sont payés cash par le consommateur.

La rencontre d'Oran, organisée hier, représentait la deuxième étape d'une série de trois rendez-vous régionaux initiés par le programme d'appui PME II, en partenariat avec l'APAB, dans le cadre d'une campagne de sensibilisation à destination des entreprises de la filière boissons et des organes institutionnels, comme a tenu à le rappeler, en préambule d'un point de presse, Chakib Benmustapha, expert principal du programme PME II, chargé du volet «appui institutionnel.»

L'un des instruments mis au point tout récemment pour faire du ménage dans la filière boissons, l'élaboration d'un guide des bonnes pratiques d'hygiène. Selon le président d'APAB, Ali Hamani, «l'application effective des bonnes pratiques d'hygiène, associées aux fondements de la traçabilité, sont des préalables à la mise en place d'un système HACCP (Hazard analysis and control critical point), qui permet d'aider les professionnels à répondre à l'exigence de l'analyse des dangers potentiels à toutes les étapes de la chaîne de production. Ce guide peut être aussi mis à profit pour la mise en place des systèmes de management de la qualité et de la sécurité sanitaire des aliments, en vue d'une certification selon les normes ISO 9001 et ISO 22000.»

L'ouvrage présente la liste exhaustive des matières premières autorisées dans la fabrication de boissons (fruits ou mélange de fruits, sucres autorisés par l'arrêté interministériel du 27/04/1997, le dioxyde de carbone en tant qu'ingrédient), ainsi que les textes réglementaires relatifs à l'utilisation des additifs (édulcorants, colorants, arômes, etc.)

Par ailleurs, et selon les informations fournies lors de cette rencontre régionale, il existe 1.200 entreprises dans le secteur, faisant travailler près de 14.000 personnes. Le taux de croissance dans la filière est de l'ordre de 6%, avec une forte croissance enregistrée en 2003 pour les boissons gazeuses. Cette dernière filière ainsi que les eaux minérales en bouteilles ont atteint à elles seules 82% dans la structure de la production, qui enregistre pas moins de 11 millions d'hectolitres par an.

Entre autres problèmes soulevés par les opérateurs, «la concurrence déloyale et la présence du marché informel qui utilise notamment des produits interdits, à l'exemple d'édulcorants (conditionnés par des dosages bien définis) déconseillés aux enfants, le non-respect par un grand nombre d'entreprises de la filière des normes alimentaires, l'absence de transparence entre les producteurs (conflits d'intérêts), la faiblesse dans la réglementation des conditions et des normes d'hygiène dans le processus de fabrication, l'étiquetage et la conservation des produits, l'insuffisance de conditions de vente (les DCP n'ont pas suffisamment de moyens pour opérer des contrôles systématiques), le manque de soutiens bancaires et de produits d'aide au développement, l'une imposition fiscale trop lourde et, enfin, l'absence de compétences spécialisées dans l'exploitation des équipements de production. Les opérateurs dénoncent également le phénomène du dumping, grâce auquel «beaucoup de produits d'importation (soda et jus) entrent au pays à des prix défiant toute concurrence, et ce grâce à une cascade de sous-facturations qui contribue à alimenter le commerce informel. Le problème des coûts exorbitants des intrants de production, notamment le sucre qui représente jusqu'à 50% du prix de revient, a été également soulevé.
Bonsoir, vous avez raison de désigner les pouvoirs publics comme premiers responsables, mais devant une situation de carences ou de laisser-aller, le citoyen doit dénoncer ces anomalies dans un cadre réglementé. La force dans les pays dits développés réside dans leur société qui sait s'organiser dans le cadre des associations et qui font face aux insuffisances de leur administration. De par leur organisation, ces associations apportent beaucoup de réconfort à leur concitoyen et au redressement de leur pays...
Akar Qacentina - Constantine, Algérie

17/12/2011 - 23862

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Je regrette, mais c'est pas à la société civile en tant que consommateurs de faire le gendarme. La population est pour sa grande majorité ignorante, alors c'est aux pouvoirs publics de prendre leur responsabilité, c'est à eux de controler ces pratiques, mais comme les choses sont pourries aux plus hauts niveaux, je crois que c'est sans espoir ... J'ai fait ma thèse de fin d'etude dans une limonaderie, et je ne vous cache pas que j'ai été horrifié. Je présume que dans les autres filières de l'agro-alimentaire c'est pareil si ce n'est pire ... Il parait et ça reste à verifier que depuis des années la gelatine de porc est importée en toute quietude pour la fabication de certains yaourts, cacher ... Allah Yahfad
Hakim - Etudiant - Mostaganem, Algérie

17/12/2011 - 23829

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Merci à Hakim pour votre contribution et enrichissement de ce thème d'actualité. Aujourd'hui, beaucoup de producteurs de boissons, mais réellement , on ne sait pas à quelle marque se fier...Pour gagner de l'argent, certains énergumènes sont prêts à tout. A la société civile de s'émanciper pour contrecarrer ces pratiques criminelles.
Akar Qacentina - Constantine, Algérie

15/12/2011 - 23747

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Les édulcorants sont désormais utilisés pour toutes les boissons en Algérie et pas seulement les boissons light , les enfants en sont les premières victimes, voici un rapport sur la dangérosité du produit : Dépliant d'information sur l'aspartame : Commandité par le USA Weekend Magazine et la Fondation Points of Light, ce dépliant de l'organisme Mission Possible Internationale vise à SAUVER LES ENFANTS, et s'adresse aux écoles, aux associations de parents et professeurs, aux conseils scolaires, aux obstétriciens, gynécologues, pédiatres, cliniques de fertilité, aux hôpitaux et aux personnes célèbres. Supposons que votre fils ou votre fille absorbe régulièrement - et sans le savoir! - un poison qui peut rendre aveugle, diminuer l'intelligence, occasionner des pertes de mémoire, causer des tumeurs au cerveau et diverses autres formes de cancer, et entraîner de la fatigue chronique, des états dépressifs, des troubles du déficit de l'attention, des états de panique, des accès de rage, de la paranoïa, du diabète, des attaques d'apoplexie, le suicide et même la mort. Supposons que l'utilisation de cette toxine soit encouragée par une publicité tous azimuths et que son fabricant ait acheté la collaboration de l'American Dietetics Association, de l'American Diabetes Association, de l'American Medical Association, et de tout organisme du genre pour nous convaincre que ce poison est aussi inoffensif que la pluie. Supposons que ces mensonges aient reçu la sanction officielle de la bureaucratie fédérale américaine (responsable de l'approbation des nouveaux aliments et médicaments) même si elle sait pertinemment que ce puissant neurotoxique risque de tuer votre enfant, et que le chef de cette même bureaucratie ayant fait approuver ce produit a été récompensé par un emploi bien rémunéré, tout autant que ses successeurs. Supposons enfin que ce même organisme réglementaire gouvernemental à qui revient le rôle de «chien de garde», ignorant les milliers de plaintes reçues à l'égard de ce produit, soit devenu un «chien d'attaque» protégeant cette compagnie corrompue. Aimeriez-vous connaître la vérité ? Que ne feriez-vous pas pour protéger votre enfant contre ces crimes ? Trève de suppositions ! Telle est l'amère réalité en ce qui concerne l'aspartame (connu également sous le nom de NutraSweet ou Equal), le fabriquant Monsanto Chemical, la Food and Drug Administration (FDA), et les compagnies Coca Cola et Pepsi Cola ainsi que les centaines de fabriquants de produits alimentaires, de breuvages et de médicaments qui ajoutent à leurs produits un poison conçu dans la fraude en vertu du principe que seuls les profits importent! La liste suivante énumère quelques-unes des 92 réactions observées, selon ce que rapportent plus de 10 000 plaintes, une liste que vous ne pourriez obtenir sans l'aide d'un membre du Congrès américain, car la FDA mentira et demandera «Mais quelle liste?» Maux de tête - Embonpoint - Nausées - Surdité - Douleurs articulaires - Tachycardie - Diarrhée - Infertilité - Douleurs à la poitrine - Étourdissements - Acouphène - Éruptions cutanées - Spasmes - Palpitations - Impotence - Éruptions cutanées - Cécité - Insomnie - Coma - Sensations de brûlure à la langue - Menstruations douloureuses - Perte du contrôle diabétique - Engourdissements - Difficultés d'élocution - Problèmes de dentition L'aspartame a été inventé par la compagnie G. D. Searle (acquise par Monsanto en 1985). Durant plus de 16 ans, la FDA a refusé de l'approuver jusqu'à ce que le Commissaire Arthur Hull Hayes décide en 1981 de rejeter les conclusions de son propre conseil consultatif (Public Board of Inquiry) et de l'approuver en dépit des protestations de l'American Soft Drink Association. Les résultats des tests soumis par Searle étaient si épouvantables que, pour la première fois de son histoire, la FDA a dû demander au ministère américain de la justice de poursuivre un fabriquant pour fraude. Les avocats de la poursuite, Sam Skinner et William Conlon, furent alors embauchés par les avocats de la défense et la cause se termina une fois la période de prescription écoulée. Lorsque le Parrain embauche les avocats représentant le ministère de la justice, ne vous attendez surtout pas à ce qu'il y ait une condamnation ! La toxicité de l'aspartame a été établie par plusieurs des médecins les plus réputés au monde ! Consultez le site anglophone http://www.dorway.com pour accéder à des centaines de pages de preuves, à la liste des plaintes reçues par la FDA, à ce qu'en disent les médecins, et à des liens vers plus de 200 sites Web, un groupe de soutien et des listes de textes publiés sur le sujet par des experts médicaux. Si votre médecin n'est au courant de rien de tout cela, c'est une honte car il risque alors d'établir un diagnostic erroné pour nombre de ses patients présentant des symptômes de fatigue, maux de tête, douleurs articulaires, perte de mémoires, détérioration de la vue, et d'apoplexie du fait que les «autorités» médicales ne lui ont sans doute jamais communiqué toute l'information pertinente à ce sujet. Faites-lui part de ce que vous savez et demandez-lui de se brancher sur Internet pour y trouver la confirmation de vos dires. Faites sortir l'aspartame de votre école! Faites sortir l'aspartame de votre cafétéria! Faites sortir l'aspartame de votre maison! Retournez tous les produits empoisonnés à l'aspartame et exigez d'être remboursé(e)! Sauvez des vies en informant tous les gens que vous connaissez. C'est trop cher payer que de risquer l'invalidité ou la mort pour satisfaire la cupidité de ces compagnies. Si votre enfant est sous médication, rappelez-vous que l'aspartame est un produit qui, à l'origine, devait être un médicament mais que l'on a retiré afin de pouvoir le mettre en marché comme additif alimentaire, ce qui n'exige aucun suivi pour déceler de possibles effets secondaires. L'interaction avec les médicaments inclut notamment des réactions avec les inhibiteurs d'oxydase de monoamine, d'alpha-méthyldopa et de L-dihydroxphénylalanine, sans compter de nombreux autres ! TÉMOIGNAGES DE SOURCE MÉDICALE L'endocrinologue H.J. Roberts (M.D., FACP) a étudié depuis 15 ans les effets de l'aspartame et possède des dossiers portant sur plus de 1 300 victimes de l'aspartame. Le Dr Roberts a déclaré que la Maladie de l'aspartame est devenue une épidémie mondiale. Ses livres, Aspartame (NutraSweet) Is It Safe?, Sweet'ner Dearest and Defense Against Alzheimer's Disease devraient être dans la bibliothèque médicale de chaque médecin et il vous les faut si vous êtes une victime. Le Dr Roberts cite en exemple un sondage national démontrant que 40% des enfants âgés de 9 ans consomment des produits contenant de l'aspartame. Aucun avertissement n'est mentionné, sauf peut-être pour les personnes souffrant de phénylcétonurie (maladie génétique héréditaire des personnes qui n'ont pas l'enzyme permettant de métaboliser la phénylalanine - détails au http://www.pcu.ch), mais certains de ces avertissements ont disparu depuis que l'aspartame a été approuvé pour usage général. Le Dr Miguel A. Baret de la compagnie Dominion Republic a retiré le lait de la diète de 360 enfants à titre de mesure préventive contre le diabète. Le lait de vache possède une certaine protéine qui peut causer le diabète, principalement chez les enfants. Les enfants buvaient du jus contaminé par de l'aspartame. Immédiatement après, plusieurs enfants ont développé des problèmes décrits comme étant des agitations incontrôlées, manque de concentration, irritabilité et dépression. Le Dr Baret, réalisant que l'aspartame était la cause de ce changement chez ses sujets, retira l'aspartame de la diète. «Les résultats furent aussi étonnant que la situation même que je tentais de corriger. Les symptômes de TOUS les enfants disparurent en 4 à 6 jours!». Merci Dr Baret pour cette étude démontrant les effets néfastes de l'aspartame sur les cerveaux de nos enfants. Le Dr Ralph Walton, psychiatre, professeur et président du Center for Behavioral Medicine commente les premières réactions du Dr Baret comme suit : «Nous savions depuis plusieurs années que, lorsque l'aspartame est ingéré avec un repas riche en hydrates de carbone, l'accroissement physiologique normal de la présence de tryptophane est bloqué, tandis qu'augmentent les concentrations de phénylalanine et de tyrosine au cerveau. Ces changements au niveau des précurseurs neurotransmetteurs des acides aminés peuvent, je crois, modifier l'équilibre indoléamine/catécholamine et ainsi avoir des effets prononcés sur l'humeur et les facultés cognitives tels humeur dépressive, anxiété, étourdissements, attaques de panique, nausées, irritabilité, détérioration de la mémoire et de la concentration.» Par ailleurs, le Dr Louis Elsas, professeur en pédiatrie et génétique à l'université Emory, dans son témoignage devant le Congrès américain le 3 novembre 1987 a déclaré que «l'aspartame est, en fait, une neurotoxine et un tératogène (déclencheur de malformations congénitales) bien connu qui, à des doses non-définies, peut provoquer des effets défavorables, voire irréversibles, dans le développement du cerveau de l'enfant ou du foetus.» Il dit également : «Je suis particulièrement outré face à ce type de publicité que nous voyons aujourd'hui et qui fait la promotion d'une neurotoxine auprès des enfants.» Monsanto annonce le poison avec l'image d'une femme enceinte qui tricote! Oui, ils savent! Ils ont financé l'étude du Dr Diana Dow-Edwards sur l'aspartame et les malformations congénitales. Lorsque les résultats s'avérèrent désastreux, ils retirèrent leur financement, et le Dr Dow-Edwards a dû payer elle-même les frais de cette étude. Par la suite, ni la FDA, ni Monsanto n'ont reconnu cette étude. Ce fiasco a confirmé au monde le credo de Monsanto : «Si la recherche ne dit pas que c'est sans danger, nous ne financerons pas ni n'accepterons l'étude.» Le Dr Ralph Walton, après ses recherches à Medline, a déclaré à l'émission «60 Minutes» que toutes les études financées par l'industrie ont démontré l'inocuité de l'aspartame, alors que près de 100% des études indépendantes ont démontré qu'il y a des problèmes. Monsanto ne veut définitivement pas que des études se fassent sans qu'ils en aient le contrôle. Quand le Dr Walton a fait une étude, ils ont refusé de lui vendre de l'aspartame. Puis, après qu'un homme ait souffert d'un détachement de la rétine, qu'un autre ait eu des saignements aux yeux, et que d'autres se soient plaints d'être empoisonnés, l'institution a stoppé la recherche. Est-ce que Monsanto savait ce qui se produisait? L'aspartame modifie les menstruations et peut provoquer l'infertilité. Plusieurs femmes croient qu'elles ne peuvent pas avoir d'enfants et affluent dans les cliniques de fertilité tout en buvant régulièrement des breuvages «diète», ce pourquoi même elles sont là ! Une étude récente (Trocho) a démontré que la formaldéhyde s'accumule dans les cellules et endommage l'ADN avec un niveau toxique d'environ 50% au niveau du foie, ainsi que des quantités substantielles dans les reins, les tissus adipeux, la rétine et le cerveau. Dans un document écrit sur l'aspartame et le foie, le Dr Sandra Cabot, de Mission Possible en Australie (auteure de livres sur le foie) se demande pourquoi quelqu'un voudrait-il consommer de l'aspartame? - en ajoutant : «Je n'en mettrais certainement pas dans mon corps, parce que je ne suis pas prête pour l'embaumement». Et c'est ce que l'aspartame est : une “trousse” d'auto-embaumement! À la lumière des études citées précédemment, le Dr Blaylock dit que quiconque ingère sciemment de l'aspartame doit forcément avoir des tendances suicidaires ! Enfin, le Dr James Bowen, qui souffre du syndrome de Lou Gehrigs engendré par l'utilisation de l'aspartame, a déclaré à la FDA, il y a plusieurs années, que «l'aspartame empoisonne l'ensemble de la population américaine, ainsi que celle de plus de 70 autres pays à travers le monde»; il a ajouté : «Toute utilisation connue de l'aspartame doit susciter des questions car celle-ci est manifestement dangereuse pour la consommation humaine.» Et que doit-on faire dans le cas d'un enfant souffrant du diabète? Un spécialiste du diabète, le Dr H.J. Roberts, écrit dans un article expliquant sa position sur le diabète et l'hypoglycémie, que l'aspartame constitue une toxine qui rend incontrôlable le taux de sucre dans le sang, détruit le nerf optique et peut causer des convulsions chez les personnes atteintes du diabète. Or ces personnes recourent à l'insuline dans le but de contrôler leur niveau de sucre dans le sang ! Des médecins courageux comme ceux-ci ont pris la parole, et plusieurs ont haussé le ton, lors de trois auditions au Congrès. Mais le lobbying et le pouvoir de l'industrie ont permis de garder ce poison sur les tables et dans la nourriture partout dans le monde. Et à présent Monsanto veut que la FDA approuve un autre produit encore plus puissant – le Neotame ! Mission Possible Internationale est un mouvement sans but lucratif composé de bénévoles oeuvrant à travers le monde afin d'avertir tous les consommateurs au sujet des dangers liés à cette toxine. Nous n'avons rien à vendre, mais une seule mission – celle de sauver votre vie ! Faites la différence, et faites-nous part des résultats que vous avez obtenus en éliminant ce poison de votre diète. Aidez-nous à propager ce message en faisant des copies pour tous vos ami(e)s, collègues de travail, pour les gens que vous fréquentez aux clubs et à l'école, pour les médecins et travailleurs de la santé que vous connaissez. Une procédure en recours collectif est entamée aux États-Unis ainsi qu'au Canada relativement à des cas d'apoplexie, de tumeurs au cerveau, de détérioration de la vue et de cécité causés par l'aspartame. Toute personne victime de l'aspartame ou intéressée à obtenir de l'information ou à se joindre au recours collectif dans son pays peut communiquer (en anglais) avec Betty Martini au Information émise par : Mission Possible Internationale 9270 River Club Parkway Duluth, Georgia 30097, USA (770) 242-2599
Hakim - Etudiant - Mostaganem, Algérie

15/12/2011 - 23679

Commentaires

Il contiendrait un colorant jugé nocif Un soda Hamoud Boualem placé sur la liste rouge des produits interdits d'importation aux USA Un soda à l’orange Hamoud Boualem est interdit d’importation aux États‑Unis. Le 23 août dernier, la Food and Drug Administration (FDA), l’organisme américain qui autorise la commercialisation des aliments et des médicaments aux États‑Unis, a refusé au groupe algérien d’importer sur le territoire américain un soda à l’orange. Selon la FDA, il viole plusieurs articles de la législation américaine concernant les aliments, notamment en matière d’identification des ingrédients. « Il semble que le produit soit fabriqué à partir de deux ou plusieurs ingrédients et l'étiquette ne mentionne pas le nom commun ou usuel de chaque ingrédient. L'article semble être mal étiqueté et l'étiquetage ne ​​continent pas les informations nutritionnelles requises. L'article semble contenir un conservateur chimique sans que son nom ni sa fonction ne soit inscrit sur l’étiquetage du produit. L'article semble contenir un colorant dangereux dans le sens de l'article 721 (a) », détaille le rapport d’interdiction d’importation rédigé par la FDA. Après cette interdiction d’importation, ce produit a été placé le 29 août sur la "liste rouge" de la FDA. Cette liste énumère les entreprises et leurs produits saisis systématiquement avant même tout examen. La société Hamoud Boualem était injoignable pour commenter cette interdiction. Hamoud Boualem est le principal fabriquant de sodas en Algérie. Ecrit par Hakim Arous de TSA Algérie
Hakim - Etudiant - Mostaganem, Algérie

15/12/2011 - 23677

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