Celui qui doit diriger notre pays l’Algérie ne doit pas être un technocrate, mais une personne qui a du leadership, c’est-à-dire un leader transformationnel.
Ce leader doit gérer la mobilisation de tous les algériens grâce à une puissante vision capable de leurs faire découvrir des horizons qui leurs étaient jusque-là inconnus.
Le pouvoir qu’il aura doit être l’énergie fondamentale nécessaire pour lancer et soutenir l’action de transformation de la gouvernance algérienne pour assurer la prospérité du pays maintenant et durablement, autrement dit, il doit avoir la capacité de traduire l’intention en réalité et de soutenir cette action de transformation.
Ce leader doit faire un usage judicieux de son pouvoir en donnant de l’espoir au peuple algérien à travers une vision. Cette vision doit définir ce que devrait être l'avenir et la capacité d'influencer les algériens pour sortir de la médiocrité afin qu'ils atteignent l'excellence. Mais une passion pour l'excellence suffit-elle ? Il doit avoir la passion, mais il besoin également de reconstruire un système de gouvernance équilibré avec des outils pour réaliser cette vision. Ce leader doit être positionné, sur tous les plans, dans le futur préconisé et non pas positionné à l’endroit par où il est passé.
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Posté Le : 29/03/2019
Posté par : imekhlef
Ecrit par : rachid imekhlef
Source : Ammar Hadj-Messaoud relation de 1er niveau1er Président directeur général chez SCIQUOM / Expert international TOC-LEAN-SIX SIGMA & Développement Organisationnel