Alger en bref Alger : les autres articles

-Site AADL de Bachedjerrah : travaux de voirie à l'arrêt
Les travaux de voirie menés par une entreprise locale sont à l'arrêt. D'après les renseignements recueillis dernièrement au niveau du chantier, la suspension des travaux, assurés par cette entreprise pour le compte de l'AADL, est due à des raisons financières.
L'opération, entamée en mars 2012, consiste à raccorder les canalisations au collecteur principal et l'aménagement d'une voie reliant la cité à la station terminus du métro. Pour rappel, l'entreprise chinoise CSCEC est en voie d'achever le dernier immeuble avant de livrer les 300 logements restants de ce site.
-Sidi M'Hamed : Etat civil dépassé
Les services de l'état civil de l'APC de Sidi M'hamed maltraitent les administrés. Les citoyens étaient obligés d'attendre, hier, plusieurs minutes pour voir apparaître les guichetiers. Une file d'attente s'est formée devant les nombreux guichets qui étaient vides durant une bonne partie de la matinée. La relève n'a pas été assurée et les agents semblent n'en faire qu'à leur tête.
Ce comportement a été condamné par de nombreux citoyens, qui ont pris attache avec la rédaction et qui déclarent que cette situation dure depuis plusieurs années sans que les responsables de l'APC daignent y mettre un terme.
-Cité Mokhtar Zerhouni (Bananiers) : polyclinique sans commodités
La polyclinique du site AADL a été ouverte après plusieurs mois d'attente. Mais cette grande structure, réalisée pourtant il y a plus de deux ans, ne dispose pas de toutes les commodités. Les résidants sont obligés d'aller dans les dispensaires des communes limitrophes, telles que Bordj El Kiffan, Bab Ezzouar ou El Harrach et s'étonnent que le service ne soit assuré que dans la journée. Les résidants en appellent aux services de la direction de la santé pour faciliter son ouverture en nocturne.
-Cimetières à l'abandon
Les nombreuses personnes qui sont allées se recueillir sur les tombes de leurs proches les jours de l'Aïd étaient effarées de découvrir l'état des cimetières. Absence d'allées, tombes saccagées, etc.
Les cimetières à Alger sont abandonnés. Qu'ils soient gérés par l' Etablissement de gestion des pompes funèbres et cimetières ou par les communes, les cimetières qui se trouvent à Alger ont besoin d'une prise en charge urgente.