Alger en bref

-Bouzaréah : Etat lamentable des routes Les pluies qui se sont abattues durant les dernières 48h ont démontré, une fois de plus, le mauvais état des routes de la ville de Bouzaréah. Toutes les rues de cette commune étaient submergées par les eaux pluviales. Du chef-lieu à Chevalley, en passant par la rue Djamel Eddine El Afghani menant à la Faculté de Bouzaréah, le constat est le même : des trous, des fosses et des marées partout. Les trottoirs ne sont pas épargnés par ce fait désolant pour une commune sise en plein Alger. Qui sont donc les responsables de cette situation catastrophique des chaussées ' «Si ce n’est pas Sonelgaz, c’est la Seaal qui creuse très souvent des tranchées pour des travaux de réparation ou de renouvellement de conduites», a affirmé un citoyen. Il faut signaler aussi la lenteur et le laisser-aller des services de l’APC et des entreprises chargées des travaux routiers au niveau de cette commune.
Parmi les exemples frappants de ce laxisme, on peut mentionner le retard excessif dans les travaux de restauration des trottoirs impraticables de la rue Djamel Eddine El Afghani. 

-Station Aïssat Idir (Sidi M'hamed) : L’insécurité est de retour La station de bus Aïssat Idir, dans la commune de Sidi M’hamed, connaît une recrudescence de l’insécurité. Les vols de téléphones portables et autres vols à la tire sont signalés par des usagers. La mauvaise gestion des horaires de départ de bus de l’Etusa profiterait, selon une victime, à ces malfrats qui profitent des heures de pointe pour commettre leur sale besogne.
Plusieurs cas de vols ont été rapportés par les usagers de ces bus, qui subissent le diktat des délinquants. Le poste de police, placé à l’intérieur de cette station, n’a pas réussi à faire régner la sécurité dans cet espace.