Alger en bref

-Baïnem, (Hammamet) : Un atelier de marbrerie sur un lit d’oued Les habitants du lotissement Oued Baïnem, dans la commune de Hammamet, déplorent l’installation dans le lit de l’oued d’un atelier de taillage et de polissage de marbre. En plus de la pollution émanant de cet atelier et qui salit l’oued, l’atelier s’avère être une source de nuisance pour les riverains.Dans une lettre adressée aux autorités locales, les habitants de ce quartier dénoncent cette situation. «Nous nous élevons contre le squat de l’oued… avec l’utilisation de la tronçonneuse, cet atelier dégage de la poussière qui envahit nos demeures. Je vous signale que nous avons des asthmatiques et des allergiques qui en souffrent», peut-on lire dans la requête. Le président d’APC, à qui nous avons demandé des explications par téléphone, dit ignorer l’existence de cet atelier.  

-Sidi Moussa :  Absence de maternité Faute de maternité, les femmes enceintes à Sidi Moussa se déplacent vers les services hospitaliers d’Hussein Dey, Kouba ou de Mustapha à Alger. Ce manque remonte à 2001, date du transfert de la polyclinique de Lahouaoura à Oued Smar.
Depuis, «les responsables locaux n’ont cessé de solliciter les instances de tutelle afin de réaliser une maternité dans la ville de Sidi Moussa,» déplore le P/APC qui précise, en outre, que de juin à novembre derniers, «le service de l’état civil local a enregistré une naissance seulement à domicile», pour ainsi révéler que les femmes enceintes de cette localité préfèrent accoucher dans une infrastructure spécialisée. Les résidantes de cette commune optent pour les maternités de Gué de Constantine ou celle de Belfort, à El Harrach.
A cet effet, M. Benmohamed, P/APC de Sidi Moussa, réitère son appel aux instances compétentes à doter sa commune, distante de 15 km d’Alger, d’une maternité rurale pouvant recevoir les centaines de femmes vivant à Raïs, Bentalha, Ouled Allal.