Algérie

Alger en bref



 La pomme de terre à 75 DA le kilo Le tubercule du « guellil », la pomme de terre, reste toujours chère par rapport à la bourse des ménages algériens moyens. En dépit des pluies diluviennes qui se sont abattues sur le pays cette saison, ce légume indispensable dans la cuisine algérienne se négocie aux alentours de 75 DA le kilo chez les vendeurs ambulants de fruits et légumes. Par contre, son prix avoisine les 85 et 90 DA sur les étals au marché Ali Mellah de Sidi M'hamed et au marché Tnach de Belouizdad.La spéculation au niveau des marchés de gros et la marge en hausse des vendeurs fait que ce légume est boycotté par une grande majorité d'Algérois. En effet, des pères et mères de famille ont même juré de ne plus s'approvisionner en pommes de terre tant que son prix dépasse les 65 DA le kilo. Et si tous les ménages se comportaient de cette manière ' Ben Aknoun : une Station dégradée Les voyageurs qui vont à la station de Ben Aknoun se plaignent de l'« accueil » qui leur est réservé. Aucune prestation ou un quelconque cadre pour les nombreux voyageurs qui protestent contre les gérants de la station souvent absents, si ce n'est toujours. Ouverte aux quatre vents, cet espace se dégrade davantage sans que les autorités n' interviennent. Le seul abribus est devenu un urinoir et les clients, nombreux à y transiter, sont ainsi obligés à faire comme ils peuvent. Les bus se bousculent en plus sans qu'une quelconque organisation soit visible. L'APC de Ben Aknoun dont le siège se trouve non loin de la station ne semble pas être gênée par ce flux incessant qui bloque par moment la circulation. Megharia Structure culturelle fermée L'article sur les infrastructures culturelles abandonnées à Alger a fait réagir des lecteurs.Partout dans l'Algérois, c'est le même constat : la culture n'est « conviée » que des jours donnés. Un centre culturel réceptionné par L'APC, il y a plus de 24 mois à Megharia cité Boumaza (Leveilley), n'est pas encore ouvert. Paraît-il, les équipements ne sont pas encore prêts. Autant en faire l'annexe d'une mosquée, unique édifice que l'on construit chez nous à la hâte.  >   


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