Alger en bref

 Accidents ferroviaires à Hussein Dey : Décès d'un jeune Une personne a été heurtée par un train près de la gare de Hussein Dey, vers 15h 30 avant-hier, après s'être aventurée sur les rails, pour on ne sait quelle raison. Il s'agit, selon des informations recueillies sur les lieux du sinistre, d'un jeune homme d'à peine la trentaine. La question de sensibilisation de la population, qui habite près des rails, se pose cependant avec acuité, tant de tels incidents tendent à s'accroître d'une manière inquiétante. Par ailleurs, la sécurité des passagers des trains est elle aussi d'actualité. Des hordes de gamins s'amusent à jeter des pierres au passage des trains, atteignant, dans la plupart des cas, les passagers leur causant de graves blessures. Ce phénomène est perceptible à El Harrach, à proximité de la décharge de Oued Smar, à Réghaïa et dans bien d'autres endroits encore. Il est plus qu'urgent de procéder à un travail de sensibilisation approfondi auprès notamment de la frange juvénile dans le but de réduire ces incidents. Les désagréments des habitants de Gué de Constantine Le tronçon routier, situé à proximité du lycée Baya Hidour à Gué de Constantine, est dans un état lamentable. Les automobilistes et les piétons qui l'empruntent au quotidien font face aux trous béants et autres stigmates dont les employés de l'APC et les services concernés n'ont pas jugé utile de colmater. « Que l'on soit en voiture ou à vélo, rien n'échappe aux multiples pièges de cette route : blessures, casses mécaniques'), écrivent les habitants dans une missive adressée à notre rédaction. Ces derniers qui interpellent le P/APC, affirment qu'un simple revêtement de goudron épargnerait tous ces aléas et économiserait temps et argent aux habitants. Il faut dire qu'en cette période d'élection présidentielle, les réalisations d'une décennie et les projets en cours sont présentés comme de véritables exploits. Le SAMU de Dély IBrahim dépassé Le SAMU de Dély Ibrahim tente d'apporter une aide à ces exclus en organisant des brigades nocturnes qui sillonnent les rues du centre-ville. Les moyens de cette structure, qui a vu ses infrastructures d'accueil se rétrécir comme une peau de chagrin, ne lui permettent pas de prendre en charge les SDF qui doivent trouver des places dans les centres hospitaliers. En hiver, le travail de cette structure de wilaya est de parer au plus urgent : servir des repas chauds, distribuer des couvertures dont on retrouve, hélas, certaines dans les rues de la capitale.  >