En effet, si Hillary Clinton fait l'apologie du vice, de la dépravation des valeurs, de la bestialité sous toutes ses formes, cela n'étonne plus personne du moment que cette nuisance états-unienne comptabilise un très charmant bilan depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale.
Pour rappel, ce pays, qui tente d'exporter sa «détériocratie» et ses nouvelles valeurs contre nature, a tenté de renverser plus de 50 gouvernements, dont la plupart avaient été démocratiquement élus. Il a tenté de supprimer un mouvement populaire ou nationaliste dans 20 pays. Il a grossièrement interféré dans des élections démocratiques d'au moins 30 pays. Il a bombardé les populations de plus de 30 pays. Il a tenté d'assassiner plus de 50 dirigeants étrangers. Au total, depuis 1945, les Etats-Unis ont effectué une ou plusieurs des actions ci-dessus à une ou plusieurs reprises dans les 69 pays suivants, soit plus d'un tiers des pays de la planète. Alors, est-cela la meilleure manière de promouvoir les droits de l'homme ' Cette nouvelle conception dont les sources sont plus anciennes qu'on le pense avait été déjà planifiée par cette minorité occulte qui a toujours agi dans les coulisses et imposé son nouveau «constructivisme» discriminatoire dont le but est de réduire cette humanité pour n'en garder qu'une minorité dans le rôle d'esclaves. Une forme d'horreur programmée dénoncée déjà par plusieurs observateurs accusés de «conspirationnistes». Et pourtant, une course de vitesse est engagée entre cet Empire du mal, qui s'est adjoint les services de dirigeants européens enrôlés de gré ou par nécessité, et le reste du monde, avec des Etats comme la Chine ou la Russie qui ont compris la perversité des Anglo-Saxons et de leurs alliés sionistes ou européens. On murmure que des bombes sont prêtes à être larguées sur les futurs géants (avant qu'ils n'aient eu le temps de s'organiser), dont la défense pourrait être neutralisée sans avertissement. Sans doute que ces futurs rivaux se préparent en armant leurs alliés un peu partout (Etats arabes comme l'Iran ou la Syrie ou latino-américains, par exemple). Ainsi, les véritables virus de la planète sont ces dirigeants de groupes multinationaux financiers ou industriels et d'institutions internationales opaques (FMI, Banque mondiale...). Or, ces dirigeants ne sont pas élus, malgré l'impact de leurs décisions sur la vie des populations. Le pouvoir de ces organisations s'exerce sur une dimension planétaire, alors que celui des Etats est limité à une dimension nationale. La démocratie a déjà cessé d'être une réalité.La marge d'action des Etats est de plus en plus réduite par des accords économiques internationaux pour lesquels les citoyens n'ont été ni consultés ni informés. C'est pourquoi il a été décidé de maintenir une démocratie de façade et de déplacer le pouvoir réel vers de nouveaux centres. Avec ces troubles qui secouent le Proche et le Moyen-Orient, le continent africain, où les enjeux cachés de l'Empire façonne ces nouvelles «démocraties» par le crime et la destruction, on peut dire que le compte à rebours a commencé. (A suivre)
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Posté Le : 01/12/2012
Posté par : presse-algerie
Ecrit par : C A
Source : www.lnr-dz.com