“On ne comprend pas le destin (...)”
Albert Camus, Caligula, III, 2.
“(...) nous mourrons tous (...). C’est là une de ces vérités que les
dramaturges et les poètes redécouvrent sans se lasser et dont leurs
spectateurs, leurs lecteurs (...) leur demandent sans cesse l’affimation.
Nous exigeons seulement que cette histoire vraie nous soit contée avec
art et de cent façons.”
Jacques Lemarchand, Le Figaro littéraire, 1955.
Les hommes sont mortels: “l’originalité de Camus est d’insister sur
cette constatation banale.”
R.-M. Albérès, Les hommes traqués, A. Michel, Paris, 1953, p. 195, cité par Sonia
Kamel, La condition humaine dans le théâtre d’Albert Camus (cf. bibliographie).
Posté Le : 30/07/2006
Posté par : hichem