Avant d'adopter un P.A.S explicitement formulé et appuyé par le F.M.I.
l'Algérie avait initié une politique de réformes ou d'autoajustement
implicite qui tendait par des mesures d'assouplissement et de
libéralisation de remédier aux lourdeurs et coûts d'un secteur public
inefficient mais trop largement développé y compris dans le secteur de
la santé : c'est la politique d'autonomie des entreprises. En effet, la
publicisation de l'activité sanitaire s'était traduite par une triple
centralisation. L'ajustement opéré dans le secteur va consister
essentiellement en une privatisation accrue de l'activité des
professionnels. La mesure inappropriée en termes de maîtrise des
dépenses collectives et de gestion moins dispendieuse et plus finalisé
d'un secteur public qui reste trop étendu.
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Posté Le : 24/04/2022
Posté par : einstein
Ecrit par : - Oufriha Fatimazohra
Source : Les cahiers du CREAD Volume 12, Numéro 41, Pages 97-100 1997-09-17