Algérie

Ainsi va la vie



Ainsi va la vie
Résumé de la 18e partie n Hayat finit par réaliser que Salim était un brave et honnête homme et qu'elle avait eu tort d'avoir douté de lui.Hayat hocha ta tête plusieurs fois de droite à gauche.- Non... je n'ai pas peur de vous mais de mes parents, comme je vous l'ai déjà dit. Ils sont capables de me tuer s'ils me voyaient descendre de la voiture d'un homme !Elle descendit. Et juste avant de refermer la portière, elle lui confia avec le sourire.- Je m'arrangerai pour ressortir de nouveau le plus vite possible !Oui, elle ferait n'importe quoi pour sortir et le rejoindre. Car elle avait désormais la preuve que le jeune homme était un type formidable et honnête. S'il était un monstre, il aurait pu abuser d'elle le long de la piste déserte et à plusieurs reprises même. Pour rentrer très tôt chez elle, Hayat prit un taxi. Et ce n'est qu'une fois que celui-ci l'eut déposée devant l'immeuble qu'elle s'aperçut de sa gaffe : elle avait oublié d'acheter la doublure pour laquelle elle était sortie ! En d'autres circonstances cette étourderie l'aurait fait sombrer dans une profonde angoisse et une indicible mélancolie. Mais cette fois-ci, elle ne ressentit absolument rien?; mieux?; elle avait trouvé sa distraction amusante. Ce serait peut-être une autre occasion pour ressortir, se dit-elle en souriant. Une autre occasion de revoir le jeune homme qu'elle venait de quitter et avec qui elle avait passé d'agréables instants, même si pendant un moment il lui avait donné des sueurs froides. Elle avait cru qu'il allait lui sauter dessus et la... la souiller à vie... Mais rien de tout cela ne s'était produit. Au contraire, après lui avoir fait comprendre qu'elle s'était trompée sur son compte, il lui avait montré qu'il était aussi quelqu'un de très gentil et de très généreux. Ah! si elle avait su qu'il était différent de la plupart des hommes malintentionnés dont on lui avait parlé, elle aurait peut-être tenté de passer quelques merveilleux instants avec lui... sans bien sûr dépasser les limites permises par la société... les limites au-delà desquelles une fille devient ?pécheresse...Elle sonna à la porte et sa mère lui ouvrit aussitôt. Elle avait l'air de bien mauvaise humeur.- Ah ! te voilà, toi ! Où étais-tu passée'-Mais mère, je ne me suis absentée que pendant deux heures, se défendit-elle en regardant sa montre.- Oui, mais moi, j'étais bien gênée...- Gênée ' Pourquoi 'Que s'est-il passé pendant mon absence?'A suivre?


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