Algérie

Ainsi va la vie



Résumé de la 4e partie n Hayat est abordée par un jeune inconnu qui se propose de lui prêter de l'argent pour qu'elle puisse acheter du tissu.Le jeune homme soupira?:- Ah! c'est tout ! Ben, vous me les rendrez quand vous le pourrez.- Et où vous trouverai-je 'Dès qu'elle eut formulé cette question, elle se sentit très mal à l'aise. C'était une question inévitable que dans le cas où elle accepterait son argent.En l'espace de quelques secondes, elle s'était rendue coupable de deux bêtises : la première est qu'elle lui avait avoué que son aide serait la bienvenue. La seconde est qu'elle venait tout bonnement de lui suggérer l'idée d'une rencontre ! Pour se racheter de ses deux gaffes, elle tenta de les faire oublier en essayant de fuir.- Non... non... ne vous en allez pas ! la supplia encore le jeune homme.Elle s'arrêta une fois de plus. Elle avait peur qu'il la suive dans la rue et attire sur elle les regards des passants. Et comme sa malchance était grande, il s'en trouverait certainement parmi eux quelques-uns qui connaissaient son père ou un de ses frères!- Vous savez, ce tissu est une occasion unique. Ce n'est pas pour vous que vous le voulez n'est-ce pas ' Vous m'avez l'air d'une couturière.- Oui, effectivement.- Une robe confectionnée avec ce tissu peut vous rapporter très gros, vous savez...- C'est à ça que je pensais aussi...- Alors prenez cet argent. Et rendez-le moi quand vous voudrez ! Tenez, je vous donne mon numéro de téléphone. Vous n'avez qu'à m'appeler pour me dire quand vous avez l'intention de sortir et...Avant même qu'il n'ait fini de parler, elle prit le petit bout de papier qu'il semblait avoir préparé depuis longtemps.Et elle prit conscience d'une autre bêtise qu'elle venait de commettre : elle avait pris son numéro avant l'argent qu'il lui avait proposé ! C'était comme si elle lui avait dit qu'il l'intéressait plus que l'argent ! Après bien des hésitations, Hayat finit par accepter l'argent que lui avait proposé l'inconnu et acheter quinze mètres du précieux et merveilleux tissu. Elle en donna une partie au marchand et tenta de rendre le reste à l'inconnu.- Vous pouvez les garder mademoiselle, vous pourriez trouver encore sur votre chemin d'autres magasins contenant des occasions à saisir... euh... moi par exemple j'ai toujours un million de centimes sur moi, au cas où je trouverais quelque chose d'intéressant à acheter sur mon chemin?- Vous avez de la chance?Hayat était certaine que quelque chose de merveilleux était en train de se produire. Est-ce vrai?'A suivre?




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