Algérie

Ainsi va la vie



Ainsi va la vie
Résumé de la 9e partie ? Hamid, le père de Karima est accueilli comme un héros dans l'entreprise de Mourad, le beau-père de sa fille. Celui-ci lui montre son bureau ainsi que ses deux secrétaires.Hamid n'accorde qu'un rapide et désapprobateur regard aux deux jeunes filles parce que leur tenue vestimentaire, à la limite de la décence, et leur maquillage outrancier semblaient contredire tout ce que son gendre venait de dire à leur sujet. Au fond du bureau des deux secrétaires, il y avait une petite porte.??Ton bureau se trouve derrière cette porte. Je te laisse le soin de l'ouvrir.??Merci.Hamid tourne la poignée, pousse la porte et découvre un gigantesque bureau avec fauteuils, bibliothèque et télévision.??Mais c'est un bureau de ministre, Mourad... C'est trop... Et puis, je comprends maintenant pourquoi les impôts te font des redressements.?? Je veux que mes collaborateurs soient à l'aise pour accomplir leur tâche. Tu sais cela fait partie du management moderne. Moi, je n'ai rien inventé. Quand on s'installe dans un décor aussi accueillant, on oublie les soucis auxquels on était confronté quelques instants avant. Tu comprends ' On a l'impression d'être dans un autre monde, et même d'être une autre personne.Soudain, Mourad appelle Mouna !Une des deux secrétaires arrive presque en courant pour se tenir au garde-à-vous devant les deux quinquagénaires. Ce qui permet à Hamid de bien la voir, de la tête aux pieds. Ces deux filles-là, se dit-il, sont vêtues de manière immorale. La première mesure qu'il prendrait serait de leur demander de changer leurs habitudes vestimentaires. Ici, c'est un lieu de travail, pas une discothèque !??Mouna, sers-nous deux tasses de café, s'il te plaît.??Maalih, monsieur...Hamid se sent très mal à l'aise...Les deux secrétaires sont là pour un travail de secrétariat, pas pour servir du café...Mouna ouvre un des buffets se trouvant dans le bureau, mis à la disposition de Hamid, et en sort une bouteille d'eau minérale, une cafetière électrique, des tasses, un sucrier et des cuillères. Moins de cinq minutes plus tard, les deux quinquagénaires sirotent un café chaud et exquis mais que Hamid a trouvé amer parce que préparé dans des conditions qui ne lui plaisent pas. (A suivre...)




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