Si du côté des professionnels du secteur du
BTPH les choses sont encore exprimées d'une manière timide, faute d'un ancrage
solide des entreprises, en mesure de suivre l'évolution de mise à niveau, à
travers le pays ; du côté du secteur de la pêche aquacole et des ressources
halieutiques, on a tendance à voir une émergence d'unités. Celles-ci activant
dans le domaine, ont vu bon nombre d'entre-elles adhérer au programme de
formation des marins pêcheurs, non seulement à l'école de pêche de Béni-Saf
mais ailleurs pour des spécialités non dispensées localement. D'ailleurs les
gens de mer, autorisés à activer dans le secteur de la pêche ou dans les
activités para aquacoles doivent être formés, ceci étant une condition sine quo
non. La rencontre avec les professionnels de la pêche, les autorités chargées
de l'industrie, celles de la petite et moyenne industrie et la promotion des
investisseurs, a eu pour cadre la bibliothèque Malek Benali. Tous les
intervenants ont accordé leur violon et semblent décider à vouloir accompagner
les petites et moyennes entreprises, afin de s'inscrire dans la nouvelle
dynamique de mise à niveau qui reste un passage obligé pour garantir le niveau
de compétitivité et de concurrence avec d'autres entreprises appelées à manifester
leur savoir-faire et leur maîtrise quand l'Algérie ratifie les conventions de
son entrée à l'OMC.
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Posté Le : 15/03/2011
Posté par : sofiane
Ecrit par : B B
Source : www.lequotidien-oran.com