Pour rejoindre la «route d'Alger», à moins d'un km de l'entrée-est du chef-lieu, il faut patienter des dizaines de minutes. Cette situation n'est pas nouvelle et bien que ses causes soient cernées lors de multiples réunions des services concernés (APC, sûreté, pompiers, auto écoles), aucune issue allant dans le sens de l'amélioration de la circulation automobile ne semble se dessiner à l'horizon. S'il est clair que les responsables se heurtent à la difficulté de réaliser un évitement, des solutions à même de juguler ce flux, du moins temporairement, existent.La déviation par la «route de l'hôtel», reliant la sortie-est à l'ouest par les hauteurs de la ville, peut àªtre envisagée, pour peu qu'elle soit remise en état. Néanmoins, cette voie, la seule issue pouvant décongestionner la ville, est fermée depuis plus d'une année à la suite d'un éboulement. De plus, la déformation de la chaussée, ajoutée à une multitude de nids de poules parsemant la grande rue, gêne considérablement la circulation.                                                                Â
-
Votre commentaire
Votre commentaire s'affichera sur cette page après validation par l'administrateur.
Ceci n'est en aucun cas un formulaire à l'adresse du sujet évoqué,
mais juste un espace d'opinion et d'échange d'idées dans le respect.
Posté Le : 10/05/2011
Posté par : sofiane
Ecrit par : Nacer B.
Source : www.elwatan.com