Pour Djilali Hadjadj, porte-parole de l'Association algérienne de lutte contre la corruption (AACC), la démission du président du Conseil constitutionnel est liée au discours du général Ahmed Gaïd Salah sur la réouverture des dossiers de corruption. Selon lui, Tayeb Belaïz était à l'époque de l'affaire Khalifa ministre de la Justice. Il fait partie des membres du gouvernement qui avaient obtenu, à l'époque, des prêts extrêmement importants auprès des agences Khalifa sans justificatifs. C'était des prêts de complaisance qu'ils n'avaient pas remboursés. ?'J'en suis persuadé. Quand j'ai lu le discours du chef d'état-major, j'étais persuadé que c'était Tayeb Belaïz qui était visé. Il n'y a aucune autre raison qui expliquerait sa démission , a-t-il déclaré dans un entretien accordé à actu-fil.
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Posté Le : 16/04/2019
Posté par : presse-algerie
Ecrit par : Réflexion
Source : www.reflexiondz.net