Auditionné dans l'affaire du montage automobile, l'ex-Premier ministre Ahmed Ouyahia a nié toutes les accusations portées contre lui, notamment l'octroi d'indus avantages lors de la passation de marchés en violation des dispositions législatives et réglementaires, abus de fonction volontaire par un fonctionnaire public en violation des lois et réglementations, conflit d'intérêts en matière de passation de marchés, dilapidation volontaire de deniers publics et usage illégal par un fonctionnaire public au profit d'une personne ou une entité, affirmant toutefois qu'il veillait toujours à préserver les deniers publics. Répondant à une question au sujet d'une lettre adressée par ses soins au ministre de l'Industrie de l'époque, pour lui demander de réduire la liste des partenaires économiques avec lesquels il fallait traiter, Ouyahia a précisé qu'il cherché à préserver l'économie nationale. » En 2018, la facture du montage automobile avait déjà atteint 600 millions de dollars et c'est moi que l'on accuse à présent », accusant directement l'ancien gouvernement et l'ex-président Abdelaziz Bouteflika.
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Posté Le : 19/06/2020
Posté par : presse-algerie
Ecrit par : Réflexion
Source : www.reflexiondz.net