Accorder les violons Sous la Plume

Les séances plénières reprennent à l'Assemblée populaire nationale et les députés enfourchent leur cheval de bataille pour débattre du projet de loi électorale sur le mode de scrutin qui n'a pas l'air de faire l'unanimité.
Les partis vont s'affronter autour du projet de loi organique au régime électoral censé réunir les conditions d'une élection transparente et régulière, un refrain bien connu qui date du 26 décembre 1991 où le Premier ministre de l'époque, Sid-Ahmed Ghozali, l'avait promis. Mais c'est, surtout, la journée du jeudi qui fera grincer des dents car il s'agira de l'examen du projet de loi organique définissant les cas d'incompatibilité avec le mandat parlementaire. Le RCD semble reprendre du service après avoir boycotté la session de printemps et donne son avis quant à la question.
Etonnement, le RCD semble d'accord avec la proposition du RND en y ajoutant une nuance dans le fait est que le problème ne réside pas dans le mode de scrutin, mais plutôt dans la manière d'élaborer une loi électorale qui permette d'instaurer des mécanismes pour pallier la fraude et une structure qui veille à assurer la transparence du scrutin. Dans l'hémicycle, des voix seront concordantes comme celles du RND, FLN et MSP, Alliance présidentielle oblige, et même le PT qui estime que le mode de la proportionnelle au niveau de la circonscription électorale demeure le meilleur pour les prochaines échéances. Ce projet de loi, une fois validé par le Parlement, devrait renforcer la démocratie. Il sera même question d'introduire un amendement sur les mécanismes de surveillance des élections.
La commission serait présidée par un juge qui donnerait davantage de crédit et, donc, faire la chasse à la fraude à laquelle ont, souvent, crié les partis politiques d'opposition. Mais n'allons pas trop vite en besogne, l'installation de cette commission n'est qu'une proposition qui risque bien de rester en l'état. Alors, les élections transparentes et régulières plus qu'un v'u pieux ' C'est ce qu'on espère.
Les séances plénières reprennent à l'Assemblée populaire nationale et les députés enfourchent leur cheval de bataille pour débattre du projet de loi électorale sur le mode de scrutin qui n'a pas l'air de faire l'unanimité.
Les partis vont s'affronter autour du projet de loi organique au régime électoral censé réunir les conditions d'une élection transparente et régulière, un refrain bien connu qui date du 26 décembre 1991 où le Premier ministre de l'époque, Sid-Ahmed Ghozali, l'avait promis. Mais c'est, surtout, la journée du jeudi qui fera grincer des dents car il s'agira de l'examen du projet de loi organique définissant les cas d'incompatibilité avec le mandat parlementaire. Le RCD semble reprendre du service après avoir boycotté la session de printemps et donne son avis quant à la question.
Etonnement, le RCD semble d'accord avec la proposition du RND en y ajoutant une nuance dans le fait est que le problème ne réside pas dans le mode de scrutin, mais plutôt dans la manière d'élaborer une loi électorale qui permette d'instaurer des mécanismes pour pallier la fraude et une structure qui veille à assurer la transparence du scrutin. Dans l'hémicycle, des voix seront concordantes comme celles du RND, FLN et MSP, Alliance présidentielle oblige, et même le PT qui estime que le mode de la proportionnelle au niveau de la circonscription électorale demeure le meilleur pour les prochaines échéances. Ce projet de loi, une fois validé par le Parlement, devrait renforcer la démocratie. Il sera même question d'introduire un amendement sur les mécanismes de surveillance des élections.
La commission serait présidée par un juge qui donnerait davantage de crédit et, donc, faire la chasse à la fraude à laquelle ont, souvent, crié les partis politiques d'opposition. Mais n'allons pas trop vite en besogne, l'installation de cette commission n'est qu'une proposition qui risque bien de rester en l'état. Alors, les élections transparentes et régulières plus qu'un v'u pieux ' C'est ce qu'on espère.