La faillite de deux banques privées en 2003, en l’occurrence Khalifa bank et la BCIA, n’a pas eu d’impact destructeur sur le secteur bancaire algérien et sur la sphère réelle de l’économie. Mieux encore les indicateurs de référence du secteur bancaire algérien ont été probants durant l’année 2003 et même après. L’objet de cet article est d’abord de passer en revue la littérature sur le risque systémique, et ensuite d’expliquer le pourquoi de cette absence de crise systémique dans ce cas d’espèce.
-
Votre commentaire
Votre commentaire s'affichera sur cette page après validation par l'administrateur.
Ceci n'est en aucun cas un formulaire à l'adresse du sujet évoqué,
mais juste un espace d'opinion et d'échange d'idées dans le respect.
Posté Le : 26/05/2023
Posté par : einstein
Ecrit par : - Imoudache Nadir
Source : Revue d'économie et de statistique appliquée Volume 14, Numéro 2, Pages - 2017-12-31