Algérie

Absence de cadre juridique



Absence de cadre juridique
L'absence d'un cadre juridique, la multiplication des intervenants et la non implication des propriétaires au financement sont les principales "contraintes" rencontrées dans l'opération de réhabilitation du vieux bâti dans les communes du centre-ville d'Alger.L'absence d'un cadre juridique, la multiplication des intervenants et la non implication des propriétaires au financement sont les principales "contraintes" rencontrées dans l'opération de réhabilitation du vieux bâti dans les communes du centre-ville d'Alger.Coûteuse sur le plan financier et lourde en termes de réalisation, la réhabilitation du vieux bâti de la capitale souffre d'abord de l'absence de l'ancrage juridique, estime un directeur central au ministère de l'Habitat, de l'Urbanisme et de la ville, Ouahid Temmar.Les seuls textes de loi disponibles portent sur la préservation du bâti classé patrimoine cultuel ou historique, d'où est exclu le parc immobilier datant de l'époque coloniale française, "même s'il y a des édifices qui méritent d'être classés pour leur valeur affective", a souligné Mme Kessab, architecte et enseignante à l'Ecole polytechnique d'architecture et d'urbanisme (EPAU) d'El Harrach.L'absence d'opérateurs nationaux spécialisés dans la remise en état du vieux bâti figure parmi les contraintes listées par M. Temmar. Les chantiers ouverts dans la commune d'Alger Centre sont confiés à des entreprises étrangères: en attendant les Italiens, les Portugais sont au boulevard Colonel Amirouche et les Espagnols à la rue Larbi Ben M'hidi.Coûteuse sur le plan financier et lourde en termes de réalisation, la réhabilitation du vieux bâti de la capitale souffre d'abord de l'absence de l'ancrage juridique, estime un directeur central au ministère de l'Habitat, de l'Urbanisme et de la ville, Ouahid Temmar.Les seuls textes de loi disponibles portent sur la préservation du bâti classé patrimoine cultuel ou historique, d'où est exclu le parc immobilier datant de l'époque coloniale française, "même s'il y a des édifices qui méritent d'être classés pour leur valeur affective", a souligné Mme Kessab, architecte et enseignante à l'Ecole polytechnique d'architecture et d'urbanisme (EPAU) d'El Harrach.L'absence d'opérateurs nationaux spécialisés dans la remise en état du vieux bâti figure parmi les contraintes listées par M. Temmar. Les chantiers ouverts dans la commune d'Alger Centre sont confiés à des entreprises étrangères: en attendant les Italiens, les Portugais sont au boulevard Colonel Amirouche et les Espagnols à la rue Larbi Ben M'hidi.




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