On en sait un peu plus sur la Conférence nationale à laquelle a appelé le président dans sa lettreprogramme du 10 février. Elle aura lieu "immédiatement après l'élection présidentielle". C'est son directeur de campagne,Abdelmalek Sellal, qui l'a dit, hier, lors d'une rencontre avec les agriculteurs au siège del'Union nationale des paysans algériens (UNPA).On en sait un peu plus sur la Conférence nationale à laquelle a appelé le président dans sa lettreprogramme du 10 février. Elle aura lieu "immédiatement après l'élection présidentielle". C'est son directeur de campagne,Abdelmalek Sellal, qui l'a dit, hier, lors d'une rencontre avec les agriculteurs au siège del'Union nationale des paysans algériens (UNPA).
Contenu"Le président a présenté un programme pour parachever l'édificationde l'Etat algérien. Le projetet la conception sont clairs. Son messageest clair : hormis les constantesnationales et le caractère républicain del'Etat, tout sera ouvert au débat lors de laConférence nationale, qui se tiendra immédiatementaprès l'élection, si le présidentest réélu", a affirmé M.
Sellal."Ce sera une Conférence nationale consensuelle,à laquelle tout le monde participera.On sortira avec une stratégie nouvelle,pour parachever l'édification del'Algérie. On ne peut pas dire que ce n'estpas là une proposition démocratique", a-til ajouté, rappelant l'amélioration sensiblede la situation, selon lui, depuis la venue de Bouteflika. "Beaucoup oublient qu'onétait dans une grave crise à la fin des années 1990, beaucoup oublient la tragédiequ'on a vécue. Personne n'imaginaitqu'on allait gagner et redevenir unefamille, mais nous nous en sommes sortis,grâce à la politique de réconciliation duprésident Abdelaziz Bouteflika. On doit serappeler ce qui a été réalisé, sur le planpolitique, social, culturel, industriel etagricole. Les chiffres sont clairs et on vales détailler lors de la campagne", a-t-ilpromis.Pour l'ancien Premier ministre, lamaladie n'empêchera pas le président deparachever son oeuvre.
"Certains disent que le président est malade depuis quelques années, et ne suit pas ce qui se passe. Mais, je dirai que les chiffres sont là. Les indicateurs financiers et économiques de ces quatre dernières années, sont meilleurs que ceux des cinq années précédentes et ce, dans tous les secteurs. Cela prouve que le président a ses hommes forts et son peuple qui le soutient", affirme Abdelmalek Sellal, qui fait mention de l'optimismedes experts. "Tous les experts sont optimistes, car tous les facteurs nécessaires au développement sont disponibles : la ressource humaine, l'énergie les moyens financiers. Peut-être qu'il y a eu un reculrelatif, mais on a des capacités pour investir plus, à condition d'améliorer la gouvernance dans tous les secteurs", dit-il.Le discourspessimiste, l'ancien Premier ministre le met sur le compte de la campagne électorale. "Même avec la chute des prix du pétrole, on n'est pas en crise asphyxiante.
Je comprends que certains puissent faire douter, on est en campagne, mais les chiffres sont têtus", assène-t-il. Cela dit, Abdelmalek Sellal reconnait des défaillances, qu'il s'agira de corriger. "Il faut reconnaître qu'on a failli dans certains aspects. On n'a pas pris en charge comme il se doit, la jeunesse. On a fourni des efforts pour la formation et l'emploi, mais la jeunesse, aujourd'hui, est ouverte sur le monde et les nouvelles technologies, certains ne l'ont pas compris. La harga, même si je n'aime pas ce vocable, est un problème social et civilisationnel. Ce n'est pas parce que ces jeunes ne trouvent pas de travail ou meurent de faim, mais parce qu'ils étouffent, en quelque sorte. Notre comportement n'est pas bon enversla femme. Même si le président a pris plusieursmesures et donné sa pleine liberté à la femme, la société ne suit pas. Quand une femme fait du sport et on lui dit ta place est dans la cuisine, c'est inacceptable.
C'est ça le problème. On va à l'avenir améliorer la situation et sensibiliser toutes les franges de la société. Chaque chose en son temps", a promis Abdelmalek Sellal.Avec la virée du directeur de campagne chez les agriculteurs, après avoir rendu visite aux moudjahidine et aux travailleurs, le pouvoir confirme qu'il compte beaucoup sur les organisations qui lui sont proches, pour faire gagner son candidat le 18 avril prochain. Dans son allocution, Abdelmalek Sellal a souligné que, grâce à la politique et aux mesures prises par Bouteflika en faveur du secteur agricole, l'Algérie est aujourd'hui en passe d'assurer son autosuffisance alimentaire. "Aujourd'hui, l'agriculture représente une part importante dans le PIB et les chiffres le démontrent. On n'est pas loin de réaliser l'autosuffisance alimentaire", s'est-il félicité.
Contenu"Le président a présenté un programme pour parachever l'édificationde l'Etat algérien. Le projetet la conception sont clairs. Son messageest clair : hormis les constantesnationales et le caractère républicain del'Etat, tout sera ouvert au débat lors de laConférence nationale, qui se tiendra immédiatementaprès l'élection, si le présidentest réélu", a affirmé M.
Sellal."Ce sera une Conférence nationale consensuelle,à laquelle tout le monde participera.On sortira avec une stratégie nouvelle,pour parachever l'édification del'Algérie. On ne peut pas dire que ce n'estpas là une proposition démocratique", a-til ajouté, rappelant l'amélioration sensiblede la situation, selon lui, depuis la venue de Bouteflika. "Beaucoup oublient qu'onétait dans une grave crise à la fin des années 1990, beaucoup oublient la tragédiequ'on a vécue. Personne n'imaginaitqu'on allait gagner et redevenir unefamille, mais nous nous en sommes sortis,grâce à la politique de réconciliation duprésident Abdelaziz Bouteflika. On doit serappeler ce qui a été réalisé, sur le planpolitique, social, culturel, industriel etagricole. Les chiffres sont clairs et on vales détailler lors de la campagne", a-t-ilpromis.Pour l'ancien Premier ministre, lamaladie n'empêchera pas le président deparachever son oeuvre.
"Certains disent que le président est malade depuis quelques années, et ne suit pas ce qui se passe. Mais, je dirai que les chiffres sont là. Les indicateurs financiers et économiques de ces quatre dernières années, sont meilleurs que ceux des cinq années précédentes et ce, dans tous les secteurs. Cela prouve que le président a ses hommes forts et son peuple qui le soutient", affirme Abdelmalek Sellal, qui fait mention de l'optimismedes experts. "Tous les experts sont optimistes, car tous les facteurs nécessaires au développement sont disponibles : la ressource humaine, l'énergie les moyens financiers. Peut-être qu'il y a eu un reculrelatif, mais on a des capacités pour investir plus, à condition d'améliorer la gouvernance dans tous les secteurs", dit-il.Le discourspessimiste, l'ancien Premier ministre le met sur le compte de la campagne électorale. "Même avec la chute des prix du pétrole, on n'est pas en crise asphyxiante.
Je comprends que certains puissent faire douter, on est en campagne, mais les chiffres sont têtus", assène-t-il. Cela dit, Abdelmalek Sellal reconnait des défaillances, qu'il s'agira de corriger. "Il faut reconnaître qu'on a failli dans certains aspects. On n'a pas pris en charge comme il se doit, la jeunesse. On a fourni des efforts pour la formation et l'emploi, mais la jeunesse, aujourd'hui, est ouverte sur le monde et les nouvelles technologies, certains ne l'ont pas compris. La harga, même si je n'aime pas ce vocable, est un problème social et civilisationnel. Ce n'est pas parce que ces jeunes ne trouvent pas de travail ou meurent de faim, mais parce qu'ils étouffent, en quelque sorte. Notre comportement n'est pas bon enversla femme. Même si le président a pris plusieursmesures et donné sa pleine liberté à la femme, la société ne suit pas. Quand une femme fait du sport et on lui dit ta place est dans la cuisine, c'est inacceptable.
C'est ça le problème. On va à l'avenir améliorer la situation et sensibiliser toutes les franges de la société. Chaque chose en son temps", a promis Abdelmalek Sellal.Avec la virée du directeur de campagne chez les agriculteurs, après avoir rendu visite aux moudjahidine et aux travailleurs, le pouvoir confirme qu'il compte beaucoup sur les organisations qui lui sont proches, pour faire gagner son candidat le 18 avril prochain. Dans son allocution, Abdelmalek Sellal a souligné que, grâce à la politique et aux mesures prises par Bouteflika en faveur du secteur agricole, l'Algérie est aujourd'hui en passe d'assurer son autosuffisance alimentaire. "Aujourd'hui, l'agriculture représente une part importante dans le PIB et les chiffres le démontrent. On n'est pas loin de réaliser l'autosuffisance alimentaire", s'est-il félicité.
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Posté Le : 17/02/2019
Posté par : presse-algerie
Ecrit par : LAKHDARI BRAHIM
Source : www.lemidi-dz.com