Algérie

Abdelkader Chaou et Hamidou donnent le ton 8e festival de la musique citadine à Annaba



Un concert chaâbi animé par les artistes Abdelkader Chaou et Hamidou a ouvert, jeudi soir au théâtre régional d'Annaba, la 8e édition du Festival culturel national de la chanson et de la musique citadines.Un concert chaâbi animé par les artistes Abdelkader Chaou et Hamidou a ouvert, jeudi soir au théâtre régional d'Annaba, la 8e édition du Festival culturel national de la chanson et de la musique citadines.
Très nombreux, le public annabi, visiblement ravi par la qualité du plateau proposé pour cette première soirée, s'est régalé de plusieurs chansons puisées du patrimoine national authentique, les deux artistes gratifiant l'assistance de madih religieux et de plusieurs de leurs tubes réclamés par le public. Youm el djemaâ khardjou ryam et El Hadhra, de Chaou, ont fait vibrer l'applaudimètre avant que l'auteur de Djah rabbi ya djirani n'aille d'un savoureux medley de ses plus belles chansons, imité un peu plus tard par Hamidou dont la voix chaude et tout en vibratos conduisit plus d'un à s'essayer à quelques pas de danse dans la salle.
En plus de la musique, le public présent, où l'on pouvait apercevoir de nombreuses familles, a eu droit à quelques moments de rire avec Tahar Safir, ajoutant à l'ambiance de joie qui a régné, tout au long de la soirée, dans la salle du théâtre régional Azzedine-Medjoubi.
Une chorégraphie présentée par l'atelier de danse classique de la maison de la culture de Annaba avait auparavant mis le public en appétit, dès le lever de rideau sur cette 8e édition du Festival culturel national de la chanson et de la musique citadines. La manifestation, placée sous le slogan "Authenticité et création", donnera lieu à neuf soirées, animées par 17 artistes et 10 formations musicales venues de plusieurs régions du pays pour gratifier le public annabi de concerts de musique andalouse et chaâbi.
En plus du public qui s'est déplacé au théâtre régional pour assister à la soirée d'ouverture de ce festival organisé avec le concours du palais des arts et de la culture Mohamed-Boudiaf, d'autres férus de malouf, particulièrement nombreux dans l'antique Hippone, se sont rendus au théâtre de plein air de la ville qui a abrité, en parallèle, le festival local du malouf Hassan El-Annabi. La première soirée de cette manifestation de trois jours, initiée par le comité des fêtes de la ville, a été confiée aux artistes Yacine Achouri, Allaoua Boughenza et Ali Ghouchal.
Très nombreux, le public annabi, visiblement ravi par la qualité du plateau proposé pour cette première soirée, s'est régalé de plusieurs chansons puisées du patrimoine national authentique, les deux artistes gratifiant l'assistance de madih religieux et de plusieurs de leurs tubes réclamés par le public. Youm el djemaâ khardjou ryam et El Hadhra, de Chaou, ont fait vibrer l'applaudimètre avant que l'auteur de Djah rabbi ya djirani n'aille d'un savoureux medley de ses plus belles chansons, imité un peu plus tard par Hamidou dont la voix chaude et tout en vibratos conduisit plus d'un à s'essayer à quelques pas de danse dans la salle.
En plus de la musique, le public présent, où l'on pouvait apercevoir de nombreuses familles, a eu droit à quelques moments de rire avec Tahar Safir, ajoutant à l'ambiance de joie qui a régné, tout au long de la soirée, dans la salle du théâtre régional Azzedine-Medjoubi.
Une chorégraphie présentée par l'atelier de danse classique de la maison de la culture de Annaba avait auparavant mis le public en appétit, dès le lever de rideau sur cette 8e édition du Festival culturel national de la chanson et de la musique citadines. La manifestation, placée sous le slogan "Authenticité et création", donnera lieu à neuf soirées, animées par 17 artistes et 10 formations musicales venues de plusieurs régions du pays pour gratifier le public annabi de concerts de musique andalouse et chaâbi.
En plus du public qui s'est déplacé au théâtre régional pour assister à la soirée d'ouverture de ce festival organisé avec le concours du palais des arts et de la culture Mohamed-Boudiaf, d'autres férus de malouf, particulièrement nombreux dans l'antique Hippone, se sont rendus au théâtre de plein air de la ville qui a abrité, en parallèle, le festival local du malouf Hassan El-Annabi. La première soirée de cette manifestation de trois jours, initiée par le comité des fêtes de la ville, a été confiée aux artistes Yacine Achouri, Allaoua Boughenza et Ali Ghouchal.


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