Abdelghani Hamel, à l'occasion de la fête nationale de la police "Il ne peut y avoir de progrès sans la sécurité et la stabilité"

La Fête nationale de la police, coïncidant avec le 22 juillet de chaque année, a été célébrée avec faste dans la soirée d'avant-hier, 51 ans après la création de ce corps de sécurité au lendemain de l'Indépendance, au siège de la direction des unités républicaines de sécurité d'El-Hamiz. Placée, comme l'an dernier, sous le haut patronage du ministre de l'Intérieur et des Collectivités locales, Daho Ould Kablia, présent à l'occasion aux côtés du général-major Abdelghani Hamel, directeur général de la Sûreté nationale (DGSN), ainsi que de nombreux cadres de la nation, ce rendez-vous a été marqué par une série d'exhibitions dans différents domaines d'intervention des éléments de la police. Une véritable démonstration de force attestant des efforts consentis, ces dernières années, par l'Etat afin de promouvoir ce corps de sécurité qui, faut-il le rappeler, avait payé un lourd tribut lors de la décennie noire. Si le corps dirigé par le général-major, Hamel, n'a jamais baissé de vigilance pour poursuivre la lutte antiterroriste jusqu'à recouvrement total de la stabilité, parallèlement, il poursuit toujours sa stratégie de développement et de modernisation de ses méthodes de lutte contre toute forme de crime. "Le développement et la modernisation des méthodes de lutte contre le crime organisé et toutes les formes de violence sévissant encore dans notre pays sont notre cheval de bataille, notre grand défi étant d'assurer une meilleure sécurité au citoyen et, par la même, recouvrer la stabilité de notre pays. Il ne peut y avoir de création et de développement, ni de progrès scientifique ou économique sans la sécurité et la stabilité", a relevé, avec insistance, le DGSN dans son discours prononcé à l'ouverture des festivités du 51e anniversaire de la création de la police. Pour relever ce défi, Abdelghani Hamel ne manquera pas de rassurer sur l'engagement de l'Etat à mettre tous les moyens nécessaires à disposition de la police pour assurer la stabilité du pays. Une réalité largement démontrée sur le terrain au vu des gros moyens, à coût de budgets colossaux, dont bénéficient les différents corps de sécurité dans notre pays. À noter, par ailleurs, que pour la deuxième année consécutive en pareille occasion, Daho Ould Kablia a su habilement éviter les questions des représentants des médias nationaux à la clôture de cette cérémonie nocturne...F A
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