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Abdelaziz Bouteflika, l'homme de la réconciliation



Abdelaziz Bouteflika, l'homme de la réconciliation
Militant de la cause nationale, Abdelaziz Bouteflika, qui brigue un quatrième mandat à la magistrature suprême du pays, est un homme rompu à la gestion des affaires de l'Etat, qui se présente à la présidentielle du 17 avril. Il a l'objectif de préserver la stabilité du pays et de remettre le flambeau à la jeune génération.Militant de la cause nationale, Abdelaziz Bouteflika, qui brigue un quatrième mandat à la magistrature suprême du pays, est un homme rompu à la gestion des affaires de l'Etat, qui se présente à la présidentielle du 17 avril. Il a l'objectif de préserver la stabilité du pays et de remettre le flambeau à la jeune génération.Né le 2 mars 1937, Abdelaziz Bouteflika milite très tôt pour la cause nationale. En 1962, il est député à l'Assemblée constituante et à 25 ans, il devient ministre de la Jeunesse, des Sports et du Tourisme du premier gouvernement de l'Algérie indépendante. Il est également membre de l'Assemblée législative en 1963, avant d'être nommé, la même année, ministre des Affaires étrangères jusqu'en 1979.En 1964, Bouteflika est élu par le congrès du Front de libération nationale en qualité de membre de comité central et membre du bureau politique. A la mort du président Houari Boumediene, en 1978, il est contraint à un exil. De retour en Algérie en janvier 1987, il sera signataire de la "motion des 18" consécutive aux événements d'octobre 1988.En décembre l998, il fait part de sa décision de se présenter, en tant que candidat indépendant à l'élection présidentielle anticipée d'avril 1999. Il est élu président de la République le 15 avril 1999. Dès sa prise de fonctions, Bouteflika réaffirme sa détermination à rétablir la paix et la stabilité dans le pays. Il engage le processus de concorde civile, consacré, le 16 septembre 1999, par un référendum qui recueille plus de 98 % de suffrages favorables.Le 8 avril 2004, il est réélu avec près de 85 % des voix et dès l'entame de son second mandat, il initie un programme de consolidation et de soutien au développement, doté d'une enveloppe de 60 milliards de dollars, ainsi que deux programmes dédiés au Sud et aux Hauts-Plateaux.En septembre 2005, et conformément à sa promesse électorale, Bouteflika organise un référendum sur la réconciliation nationale, plébiscitée par 80% des Algériens. Fin 2008, il procède à une révision partielle et limitée de la Constitution et le 12 février 2009, il annonce sa décision de se présenter à l'élection présidentielle comme candidat indépendant. Il est réélu pour un troisième mandat consécutif avec un taux de 90,24 % des suffrages exprimés.Ce troisième mandat a été marqué notamment par le lancement d'une série de réformes politiques qui ont permis l'entrée au gouvernement de partis de l'opposition, l'agrément de nombreuses formations politiques, ainsi que l'ouverture de l'audiovisuel. En avril 2013, Abdelaziz Bouteflika a été victime d'un accident ischémique transitoire. Après les soins qui lui ont été prodigués avec succès, il a entamé une période de convalescence sur l'avis de ses médecins avant de reprendre ses activités à l'automne 2013.Né le 2 mars 1937, Abdelaziz Bouteflika milite très tôt pour la cause nationale. En 1962, il est député à l'Assemblée constituante et à 25 ans, il devient ministre de la Jeunesse, des Sports et du Tourisme du premier gouvernement de l'Algérie indépendante. Il est également membre de l'Assemblée législative en 1963, avant d'être nommé, la même année, ministre des Affaires étrangères jusqu'en 1979.En 1964, Bouteflika est élu par le congrès du Front de libération nationale en qualité de membre de comité central et membre du bureau politique. A la mort du président Houari Boumediene, en 1978, il est contraint à un exil. De retour en Algérie en janvier 1987, il sera signataire de la "motion des 18" consécutive aux événements d'octobre 1988.En décembre l998, il fait part de sa décision de se présenter, en tant que candidat indépendant à l'élection présidentielle anticipée d'avril 1999. Il est élu président de la République le 15 avril 1999. Dès sa prise de fonctions, Bouteflika réaffirme sa détermination à rétablir la paix et la stabilité dans le pays. Il engage le processus de concorde civile, consacré, le 16 septembre 1999, par un référendum qui recueille plus de 98 % de suffrages favorables.Le 8 avril 2004, il est réélu avec près de 85 % des voix et dès l'entame de son second mandat, il initie un programme de consolidation et de soutien au développement, doté d'une enveloppe de 60 milliards de dollars, ainsi que deux programmes dédiés au Sud et aux Hauts-Plateaux.En septembre 2005, et conformément à sa promesse électorale, Bouteflika organise un référendum sur la réconciliation nationale, plébiscitée par 80% des Algériens. Fin 2008, il procède à une révision partielle et limitée de la Constitution et le 12 février 2009, il annonce sa décision de se présenter à l'élection présidentielle comme candidat indépendant. Il est réélu pour un troisième mandat consécutif avec un taux de 90,24 % des suffrages exprimés.Ce troisième mandat a été marqué notamment par le lancement d'une série de réformes politiques qui ont permis l'entrée au gouvernement de partis de l'opposition, l'agrément de nombreuses formations politiques, ainsi que l'ouverture de l'audiovisuel. En avril 2013, Abdelaziz Bouteflika a été victime d'un accident ischémique transitoire. Après les soins qui lui ont été prodigués avec succès, il a entamé une période de convalescence sur l'avis de ses médecins avant de reprendre ses activités à l'automne 2013.




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