Abdelaziz Belaïd affiche son ambition

Abdelaziz Belaid, le président du Front El Moustakbal, a, comme attendu, réussi le cap de la collecte des signatures. Il a en effet déposé, hier, son dossier de candidature auprès de l'Autorité nationale indépendante des élections (Anie).Abdelaziz Belaid, le président du Front El Moustakbal, a, comme attendu, réussi le cap de la collecte des signatures. Il a en effet déposé, hier, son dossier de candidature auprès de l'Autorité nationale indépendante des élections (Anie).
Ce n'est pas la première fois qu'il affiche sonambition de briguer la plus haute marche du pouvoir. Il s'est aussi, pour rappel, présenté pour la première fois lors de l'élection présidentielle de 2014. De même qu'il a présenté sa candidature à l'élection présidentielle avortée du 16 avril dernier. C'est dire combien ce quinquagénaire est animé d'une grande volonté et d'une grande envie de vouloir exposer aux Algériens son programme politique. Une ténacité qui confirme qu'il n'a pas peur de solliciter le suffrage des électeurs algériens.
Preuve sans doute qu'il croit fermement en ses chances. Le leader du Front El Moutakbal, que d'aucuns considèrent comme faisant partie d'une jeune génération de politiciens qui ne s'est donc pas compromise dans la gestion des affaires publiques, n'est pas, cela dit, un novice dans le champ politique. Malgré son relatif jeunebâge, il cumule une grande expérience dans l'action politique, alors qu'il était encore sur les bancs de l'université. Titulaire d'un doctorat en médecine et d'une licence en droit, il s'est engagé dans l'action militante au sein de l'Union nationale des étudiants algériens (UNEA), dont il est devenu le secrétaire général. Il a par la suite pris la direction de l'Union nationale de la jeunesse algérienne (UNJA) qui était alors une organisation placée sous la tutelle du parti du FLN, dont il était d'ailleurs militant.
Et c'est en tant que tel, et à peine âgé de 33 ans, qu'il a été élu député à l'Assemblée populaire nationale (APN) dans la circonscription d'Alger lors des élections législatives de 1997. Il a de nouveau été élu député à l'APN, pour un second mandat de cinq ans aux législatives de 2002. Quelques années plus tard, en 2011 plus précisément, il démissionne du parti du FLN et fonde le Front El Moustakbal en 2012.
Ce n'est pas la première fois qu'il affiche sonambition de briguer la plus haute marche du pouvoir. Il s'est aussi, pour rappel, présenté pour la première fois lors de l'élection présidentielle de 2014. De même qu'il a présenté sa candidature à l'élection présidentielle avortée du 16 avril dernier. C'est dire combien ce quinquagénaire est animé d'une grande volonté et d'une grande envie de vouloir exposer aux Algériens son programme politique. Une ténacité qui confirme qu'il n'a pas peur de solliciter le suffrage des électeurs algériens.
Preuve sans doute qu'il croit fermement en ses chances. Le leader du Front El Moutakbal, que d'aucuns considèrent comme faisant partie d'une jeune génération de politiciens qui ne s'est donc pas compromise dans la gestion des affaires publiques, n'est pas, cela dit, un novice dans le champ politique. Malgré son relatif jeunebâge, il cumule une grande expérience dans l'action politique, alors qu'il était encore sur les bancs de l'université. Titulaire d'un doctorat en médecine et d'une licence en droit, il s'est engagé dans l'action militante au sein de l'Union nationale des étudiants algériens (UNEA), dont il est devenu le secrétaire général. Il a par la suite pris la direction de l'Union nationale de la jeunesse algérienne (UNJA) qui était alors une organisation placée sous la tutelle du parti du FLN, dont il était d'ailleurs militant.
Et c'est en tant que tel, et à peine âgé de 33 ans, qu'il a été élu député à l'Assemblée populaire nationale (APN) dans la circonscription d'Alger lors des élections législatives de 1997. Il a de nouveau été élu député à l'APN, pour un second mandat de cinq ans aux législatives de 2002. Quelques années plus tard, en 2011 plus précisément, il démissionne du parti du FLN et fonde le Front El Moustakbal en 2012.