Algérie

Ababsa, chef de la sûreté de wilaya de Djelfa, présente le bilan 2017



Généralement, les bilans sont repris par nos confrères d'une manière mécanique. Les chiffres présentés ne sont aucunement analysés. Au titre d'exemple, au lieu de parler des personnes qui ont été sauvées par les agents de la Protection civile, on en parle que des bilans macabres. Ce bilan qui nous a été transmis nous essayerons de vous le présenter avec notre lecture.Nous avons constaté qu'en 2017 les policiers avaient investi beaucoup d'endroits fréquentés des grandes villes de la wilaya de Djelfa. Les présences persuasives ont instauré une certaine sérénité chez la population. La saison estivale s'est déroulée dans de très bonnes conditions. Les femmes et leurs enfants ont été protégées avec discrétion par les policiers. Cette année, nous avions partagé des moments de joie et de fête avec les policiers. Nous avions aussi assisté à des compétitions sportives. Si l'on fait part de ce constat, c'est pour dire que la situation sécuritaire est maîtrisée depuis l'avènement du chef de sûreté de wilaya. Si les premiers temps, les groupes de revente des alcools et de psychotropes ainsi que des maisons closes illicites avaient été traqués jusqu'aux derniers retranchements et propageaient de la rumeur et de l'intox contre le chef de sûreté de wilaya le traitant de Robocop, c'est-à-dire l'infatigable, maintenant seuls quelques dealers le haïssent. Si le bilan fait part de 4 890 affaires qui ont été traitées impliquant 4033 personnes dont 525 personnes mises en détention préventives et 3 225 personnes ont été en comparution directe et 62 soumises au contrôle judiciaire. Par contre, 221 personnes ont bénéficié de la liberté provisoire. Ces personnes sont impliquées dans plusieurs délits. Concernant le commerce illicite des drogues, stupéfiants, des psychotropes hallucinogènes des alcools sous toutes formes originales et de contrefaçon : Les cent soixante-dix-sept affaires ont mis hors d'état de nuire qui n'auront plus à empoisonner les collégiens, lycéens et universitaires. L'empoisonnement se faisait à travers les cartons de vin rouge frelaté des bières dites cassées des tabacs contrefaits des hallucitropes en extasie préparés dans des laboratoires en Hollande ayant pignon sur rue dont la production destinée pour l'Algérie. Ces pilules de la honte sont produites par des chimistes qui travaillent pour le compte de ceux qui veulent du mal aux Algériens et qui les triturent avec des corticoïdes facilitant l'homosexualité. Ceux qui en consomment agressent des gens. C'est ça la dure réalité, il faut en parler et remercier tous les agents honnêtes des services de sécurité qui luttent sans relâche. Voilà ce que font les policiers. Actuellement et contrairement aux périodes précédentes ou le fossé était très large entre les policiers et la population. L'adjectif de balance (mouchard) n'existe presque plus. Le 15-48 a largement contribué dans la résolution des problèmes en un temps record. En une année, il a été enregistré plus de 17 165 appels téléphoniques dont plus de la moitié à travers le 15-48 et 2 512 à travers le 17 pour demander secours Les plus heureux dans de pareils cas, ce sont les propriétaires des 14 véhicules volés qui ont été récupérés. Ce sont aussi ces citoyens qui ont été appelés et qui ont récupérer les objets qui leur ont volé de leurs demeures ou de leurs voitures. La lutte contre le banditisme n'a pas connu de repos. Les casseurs dont la majorité est en prison n'ont pas la vie facile avec les agents qui protègent les biens et personnes. Par contre, des citoyens qui étaient jugées par contumace ou ayant des mandats d'arrêt n'étaient pas moindre sur les 9 698 personnes qui ont été contrôlées et vérifiées 192 sont sous le coup d'un mandat. La protection des consommateurs a été aussi un axe de travail. Les vendeurs à la sauvette et les commerces illicites ont été entendus et 122 dossiers ont été transmis à l'instance judiciaire. En définitif tous ces criminels victimes d'une situation ou d'une autre sont sous les verrous et les populations sont sécurisées. Merci messieurs les policiers.


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