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Tipasa : Les automobilistes soulagés après l’Ouverture d’un nouvel ouvrage d’art Le pont Boumerka situé sur le tronçon de la RN 42, reliant la ville de Hadjout à Nador ne sera plus emprunté dorénavant par les automobilistes. Et pour cause : il a été tout simplement fermé à la circulation et remplacé par un nouvel ouvrage d’art, mis récemment en service. Cette nouvelle a été très bien accueillie par les habitués de cette route, dont certains ont été témoins de graves accidents qui s’étaient produits dans cet endroit. Le plus spectaculaire remonte, en effet, à trois ans en arrière lorsqu’un bus assurant la liaison Hadjout/Alger s’est précipité dans la rivière enjambée par le pont Boumerka. Fort heureusement ce jour là il n’y avait aucune victime à déplorer parmi les passagers. «Il faut dire qu’il fallait d’abord emprunter un virage serré et amorcer une pente plus ou moins escarpée. Pour les habitués, c’était un risque calculé et prenaient leurs précautions avant d’entamer la descente y menant, mais pour les étrangers c’était vraiment difficile particulièrement lorsqu’il fait nuit», avoue un chauffeur de taxi de Hadjout. En plus du risque le pont Boumerka était dans un état de vétusté avancée, accentuée par le passage fréquent de gros tonnages. «Depuis la mise en service du nouveau pont on se sent plus en sécurité.», confie Hamid, un habitant de  Nador. Maintenant, les usagers de la route ne subiront plus les contraintes qu’imposait le pont Boumerka. Avec le nouvel ouvrage, la trajectoire de la route est rectiligne, sans virages et aussi la largeur du pont, tranche nettement avec l’étroitesse de la chaussée de l’ancien pont. C’est dire que les automobilistes ont gagné amplement au change.A. L.TLEMCEN : La commune de Mansourah se dote de plusieurs infrastructuresPlusieurs projets sont en cours de réalisation dans la commune de Mansourah, qui sera renforcée des structures nécessaires s’adaptant à l’extension urbanistique du chef-lieu de wilaya de Tlémcen. Selon le président d’APC de Mansourah, le nombre et la diversité de ces projets ont été dictés par les exigences de la situation urbaine actuelle de la ville de Tlémcen caractérisée par un tissu urbain exigu et une rareté d’assiettes pour abriter différentes opérations d’aménagement. La commune connaît la réalisation de plusieurs projets culturels et religieux tels que le nouveau complexe culturel dont les travaux sont en voie d’achèvement et qui regroupe une salle d’expositions d’une capacité de 1.200 places et une salle de conférences (300 places) et plusieurs autres espaces pour accueillir des ateliers divers et des expositions culturelles ainsi que des salles pour la recherche. Outre ce complexe, la commune de Mansourah enregistre une opération de construction d’un «centre d’études et de recherche andalouses», en cours de réalisation selon l’architecture arabo-musulmane et qui offre 1.000 places pédagogiques aux étudiants et chercheurs spécialisés dans les arts andalous, et le patrimoine (musique, architecture, arts populaires et art culinaire).


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