Algérie

A travers les 48...



• Oran : Les squatteurs vous saluent bien Les dernières émeutes qui ont secoué Oran ont enfanté d’un corollaire pour le moins inquiétant qui menace la sécurité publique et porte, au même moment, un sérieux coup à la crédibilité des institutions publiques. Ainsi, des citoyens de tout bord n’hésitent plus à squatter des terrains ou encore des logements non encore distribués à Oran, s’accaparant par la force et le chantage des biens d’autrui. En à peine une semaine et dans plusieurs communes,  une invasion des terres agricoles et des logements en cours de réalisation a été enregistrée. Dans la commune d’Oran et plus précisément  dans la zone de Coca relevant du secteur urbain de Bouamama, des tracés ont été découverts par les gendarmes dans une zone forestière prête à être «dépecée» en parcelles de terres. Dans la commune de Sidi Chahmi, une assiette de 20 hectares a été morcelée et plus de 400 tracés ont été effectués en l’espace de 24 heures sur cette terre, propriété de la jumenterie d’el Karma, à cheval entre les localités et celles de Sidi Chahmi. A Missserghine, les logements LSP de l’OPGI ont été squattés par des habitants de cette localité qui n’ont pas digéré le fait que les logements réalisés sur le territoire de leur commune profitent à des familles étrangères à leur circonscription. Dans la commune de Hassi Bounif, dans la région de Chahid Mahmoud, des logements ruraux ont été investis par des familles avant l’intervention des services de sécurité. Dimanche dernier, une cinquantaine de familles originaires de Hassi Ameur ont fait irruption dans les logements CNEP pour les occuper arguant leur inoccupation depuis des années. Par ailleurs, des familles de haï el Yasmine III dénoncent l’occupation sous le couvert de la nuit des logements sociaux par des familles ayant bénéficié de passe-droits. Cette succession de squat interpelle les pouvoirs publics pour réagir avec fermeté tout en réglant le problème des mal-logés et en éradiquant définitivement cette politique de passe-droits privilège. AEM.• Tizi-ouzou : Un jeune de 28 ans retrouvé pendu à M’douhaUn  jeune homme âgé de 28 ans été retrouvé pendu dans un chantier de M’douha à Tizi-Ouzou. En effet, c’est à l’ouverture de leur chantier que les ouvriers ont été surpris de trouver le jeune homme suspendu à une corde dans une chambre au chantier. Une autopsie a été alors pratiquée et une enquête a été ouverte pour déterminer la cause de cette mort, même si la thèse du suicide est celle qui reste la plus plausible.R.'H.


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