Algérie

A travers les 48...



• Tizi-Ouzou : Deux ans de prison ferme pour trois faussairesDeux années de prison ferme pour trois faussaires, tel a été le verdict du procès mis en délibéré par le tribunal d’Ain-El-Hammam. Les trois mis en cause, dont un chef de service à l’APC d’Ifferhounène,  ont été poursuivis pour faux et usage de faux. Ce sont les services de la banque publique qui ont découvert la supercherie. Un pot aux roses qui consistait en la perception par le fils de la défunte d’une pension en monnaie européenne (Euro). Le fils indélicat avait sollicité les services du responsable de l’APC précitée pour lui faire délivrer un  faux certificat de vie qu’exigent annuellement les caisses de retraite et autres caisses sociales  à l’étranger comme  en Algérie d’ailleurs pour attester du non décès de leur pensionné. Il sollicitera aussi la participation d’un de ses amis pour apporter son témoignage apposé sur le document de l’APC avec les coordonnées d’une pièce d’identité. C’est avec ce document que l’héritier continuait à percevoir indûment la pension de sa mère décédée. Le procureur a requis une peine de trois ans contre les trois mis en cause qui ont été tous condamnés à deux années de prison ferme.  L’héritier  pour faux usage de faux, le fonctionnaire pour falsification de documents officiels et le troisième pour fausse déclaration.Rachid Hammoutène.   • Oran : Le stationnement pose problèmeLe nombre de PV pour stationnement dans des zones interdites de parking a sensiblement augmenté en 2010.  Selon le bilan annuel de la police chargée de la voirie, 11814 véhicules ont été verbalisés et immobilisés l’an dernier. Ces chiffres renseignent sur l’absence de plus en plus marquée d’endroits où stationner et plus particulièrement sur les principales avenues de la ville et du centre-ville. Ces parkings, déjà insignifiants pour une grande agglomération, tendront à disparaître tout au long du tracé du tramway qui empruntera des avenues, à l’instar  de St Eugène ou encore de la rue de Mostaganem, qui seront carrément interdites au stationnement. Parmi les solutions préconisées, la réalisation de sept parkings à étages, envisagée depuis longtemps mais malheureusement sans suite si ce n’est celui de M’dina J’dida, entré en fonction depuis un certain temps déjà. Le deuxième parking à étage sera construit à haï Sabah, par l’entreprise ETBTCE, et verra le jour dans deux ans. Il a coûté 340 millions de dinars. Pourtant la plus grosse pression est sur les artères du centre-ville perpétuellement engorgés ainsi que quelques ronds-points à l’image de celui reliant le pont Zabana au Front de mer.AEM.


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