Algérie

A quand le goudronnage de la rue Cheikh El Mokrani à Larba '



Les habitants de la rue Cheikh El Mokrani, de la cité 20 Août 1ère tranche, de la cité Kadem et des quartiers à proximité souffrent le martyre depuis des années à cause de l'état lamentable de la rue Cheikh El Mokrani qui va du centre-ville jusqu'à la sortie sud, vers la RN 8D. Déjà qu'à cause de la forte pente et de l'absence d'avaloirs d'orage, l'eau dévale la route sur près de deux kilomètres, charriant avec elle toutes sortes de matériaux durs et même de grosses pierres, arrivant parfois jusqu'au centre-ville. Tout le monde sait que la force de l'eau est dévastatrice et, bien entendu, le goudron s'est détérioré aussi bien à cause de l'eau que des années et des interventions en sous-sol sans jamais que les lieux soient remis à leur état initial. La boucle est bouclée quand des travaux d'amenée d'eau potable ont été réalisés le long de cette rue jusqu'au château d'eau situé sur les hauteurs de la ville. Non seulement les travaux ont duré des mois et des mois mais, une fois terminés, la tranchée, au milieu de la chaussée, est laissée telle quelle par l'entreprise de réalisation et il n'y a eu que quelques menus travaux de replâtrage plusieurs mois par la suite. Concernant les avaloirs d'orage, il y a de cela plus de vingt années qu'un canal couvert a été réalisé le long de la route, en dessous du trottoir mais il a été vite bouché par la terre et les pierres charriées par les eaux en descente libre, puis il a subi diverses dégradations le long de son parcours. Il n'a pas fallu plus d'une année pour le rendre complètement bouché et l'eau reprit possession de la route, la détériorant chaque jour un peu plus. Selon certaines informations recueillies auprès des habitants, des propositions auraient été faites pour reprendre le canal et le débarrasser de tout ce qui le bouchait mais les riverains ont refusé cette solution arguant qu'il a été déjà repris à deux reprises sans résultats. Devant ce refus, les autorités locales ont laissé les choses telles quelles et ce sont les habitants et les passagers qui paient les pots cassés et la détérioration de leurs véhicules et même de leurs souliers. Sans oublier les centaines d'écoliers qui traversent la route au milieu de la boue, des crevasses, des grosses pierres et des voitures qui slaloment pour éviter de s'enliser. A quand une solution pour cette route utilisée par au moins trente mille personnes quotidiennement '


Votre commentaire s'affichera sur cette page après validation par l'administrateur.
Ceci n'est en aucun cas un formulaire à l'adresse du sujet évoqué,
mais juste un espace d'opinion et d'échange d'idées dans le respect.
Nom & prénom
email : *
Ville *
Pays : *
Profession :
Message : *
(Les champs * sont obligatores)