A propos de la rue détournée à Dély Ibrahim

La dame impliquée dans le détournement d'une voie publique à la coopérative EI Omrania a cru devoir démentir cette information en recourant au mensonge avéré et vérifiable à tout moment : 1- La rue détournée n'est pas la propriété de l'Etat, mais bien celle de l'ensemble des coopérateurs et de la collectivité locale.2- Cette voie publique était au service de tout le voisinage : passage des camions d'éboueurs, rabattement des camions et engins hors gabarit, dégagement de la circulation, stationnement des visiteurs en cas d'événement exceptionnel dans le quartier, man'uvres des véhicules de passage, etc.3- Après les transformations que cette dame a fait subir à cette rue, plus aucun véhicule ne peut l'emprunter à présent. Le passage transformé en cascades et en paliers de 50 cm de hauteur ne permet plus aucune circulation. Elle devient une jouissance exclusive et privative, au seul bénéfice de la dame. Preuve en est, elle peut maintenant y garer seule en long, en large et en travers.4- Il est vrai que pendant plus de 18 mois cette rue était bloquée par des montagnes de détritus, de sable, de graviers et de gravats provenant des seuls travaux de réaménagement de la villa de madame. Comment se plaindre de ses propres manquements '5- Comble du comble pour ne pas les évacuer, ce sont précisément ces montagnes de détritus qui ont été recyclés pour transformer une voie publique en escalier. Le pire, suggère-t-elle, est que les services de l'APC en étaient avisés ; ce qui serait, pour le moins, étonnant !6- Question à la dame transformatrice de rue en trottoir : « Si chaque riverain faisait comme elle, comment rentrerions-nous chez nous ' »  >